Une rencontre inattendue

Comme toutes les semaines, Perséphone alla se faire une journée shopping à Pré-au-Lard. La jeune femme avait prit cette habitude durant ses études aux Etats-Unis. Une fois par semaine elle allait trainer dans les rues de Boston avec quelques amies de l’institut. A son retour elle avait perpétrer cette tradition, le plus souvent en allant, en compagnie d’Azuki, trainer à Pré-au-lard. Aujourd’hui elle avait décidé d’y aller seule.
Les travaux de la maison étaient enfin terminés et pour la première fois depuis un an, elle n’avait pas eut à se lever pour ouvrir aux ouvriers. Du coup elle en avait profité pour faire dormir plus longtemps et ce n’est qu’en fin de matinée qu’elle s’était réveillée. La jeune Snape avait alors enfilé un jeans et un petit chemisier en satin vert sombre, elle avait complété le tout par un cardigan noir en laine qu’elle avait noué à sa taille. Puis elle avait attrapé un sac à main et était partie pour faire les boutiques dans le petit village sorcier.
Par chance, la météo était clémente, il y avait certes quelques nuages mais le soleil brillait tout de même, un temps idéal pour faire du lèche-vitrines. Voilà maintenant quelques heures que Pers’ flânait dans les rues, elle avait les mains chargées de sacs et de paquets divers. En sortant de Gaichiffon, le regard de la rouquine fût attiré par une affiche, scotchée dans le coin de la vitrine.



La jeune femme laissa tomber ses paquets à terre, farfouilla avec frénésie dans le fatras de sa sacoche à la recherche d’un stylo et d’un morceau de papier. Ne trouvant pas ce dernier, elle écrivit le nom à l’intérieure de sa main en marmonnant quelque chose à propos du bordel que pouvait contenir un si petit sac. Elle remit son stylo au fin fond de son sac à main, secoua la main pour faire sécher l’encre puis ramassa ses achats. Lorsqu’elle releva le nez, deux vieilles sorcières la regardaient si un couple de morv’duducs venait de faire son nid dans ses cheveux. La rouquine avait gardé quelques reflexes moldus de sa vie en Amérique et visiblement son petit manège avait laissé les grands-mères comme deux ronds de flan. Persephone haussa les épaules et continua son chemin. Elle jeta un petit coup d’œil sur sa montre. Il n’était pas loin de 16h et c’est avec un sourire que la cadette des Snape accueillit cette nouvelle. C’était bientôt l’heure du gouter et cela signifiait qu’elle allait pouvoir s’asseoir chez Madame Pieddodu pour savourer un bon chocolat chaud et une pâtisserie. Mais avant un arrêt chez Honeydukes s’imposait. Il fallait bien qu’elle refasse sa réserve de sucreries. C’est donc avec une joie enfantine qu’elle se dirigea vers le confiseur. En chemin, elle repensa à cette annonce. Si seulement elle pouvait avoir ce boulot, ça lui ôterai une épine du pied. Car depuis les évènements de Veranda et la destruction de l’école, elle était sans emploi et les travaux de la maison avaient sérieusement entamé ses économies. Elle avait même, non sans effrois, pensé aller demander de l’aide à sa sœur. Au moins, si elle avait ce boulot, elle n’aurait pas à aller se trainer aux pieds de son aînée.
La demoiselle poussa la porte de la boutique à coup de hanche. Elle s’introduit dans ce petit coin de paradis et sautilla jusqu’au comptoir.

-Bonjour mademoiselle, que puis-je pour vous ? La femme derrière le comptoir lui adressa un magnifique sourire des plus commerçant.
-Alors…je voudrais 2 paquets de dragées surprises, une dizaine de chocoballes, 2 paquets de souris en sucre, 4 baguettes magiques à la réglisse, 10 plumes en sucre. Elle s’arrêta pour reprendre son souffle. Vous me mettrez aussi 5 fondants de chaudron, 2 Patacitrouilles et…Non ça sera tout finalement.

Mme Flume fixa la jeune fille avec des yeux ronds puis elle alla préparer la commande. Elle déposa le sachet sur le comptoir quand Persephone attrapa une sucette à la cerise sur le comptoir et la tendit à la vendeuse.

-finalement vous rajouterez ça.
-ça vous fera à total de 91 Gallions Mademoiselle.

La rouquine saisit sont porte-monnaie et lui paya ses achats, puis attrapa son sachet et la salua. Avant de sortir, elle laissa retomber son porte-monnaie dans son sachet de friandises puis elle se dirigea vers la porte. Mais elle avait les mains tellement chargées qu’elle eut quelques difficultés à l’ouvrir. Elle galéra un moment pour s’extirper de la boutique sans se prendre un retour de porte, quand quelqu'un, qui visiblement avait eut pitié d’elle, vint lui tenir la porte. Elle fut plus que surprise de se retrouvez nez à nez avec l’ancien directeur adjoint de l’institut Veranda.

Lorsque la rouquine prit conscience du ridicule dans lequel elle se trouvait, coincée dans l’encadrement de la porte, la bouche ouverte de stupeur, les bras chargés de paquets, elle s’empressa de se glisser hors de la boutique. Une fois extirpée du magasin elle reprit contenance et releva les yeux vers l’homme en lui adressant un sourire des plus charmeurs. Elle déposa ses paquets au sol et tendit sera la main de son sauveur avant de répondre à ses questions.

-Je vais on ne peut mieux maintenant, je vous remercie. Et vous ?

Lorsqu’il fit mention des évènements récents de l’école la jeune femme fronça le nez. Il faut dire que ça n’avait pas franchement était un partie de plaisir. Certes le fait de contrôler des Inféri avait un petit quelque chose de grisant, mais Sevy aurait tout de même put les mettre au courant. Après tout ce cadeau aurait pût être utilisé d’une autre façon. Mais là son esprit s’égarait. Persephone se secoua intérieurement et passa une main dans ses cheveux, pour dégager les mèches qui lui cachaient les yeux. Elle eut un sourire amusé devant l’empressement de son interlocuteur à l’inviter à boire un verre. Mais ce qui l’amusa par-dessus tout, fut quand il justifia son invitation en lui disant trouver ça compagnie agréable. Après tout ils n’avaient jamais passé beaucoup de temps ensemble. Il l’avait certes aidé à s’installer lorsqu’elle avait prit ses fonctions à l’institut Veranda. Mais ensuite les seuls moments qu’ils avaient passé ensembles étaient, soit lors des repas dans la Grande Salle de l’école, soit dans la Salle de professeurs ou encore une discutions rapide au détour d’un couloir. Bref leurs rapports avaient été jusqu’ici strictement professionnels.

-*Serait-il en train d’essayer de me draguer ?!*. Pers’ se mit à jouer nerveusement avec l’anneau à son annulaire gauche. C’est avec la plus grande joie que j’accepte votre invitation. Allons-y !

La jeune Snape ramassa ses achats à terre et fit signe à Stéphane qu’elle le suivait. Durant le trajet elle jeta quelques coups d’œil furtifs à l’homme à ses côtés. Après tout il était plutôt bel homme et avait une stature impressionnante. La rouquine se sentait vraiment petite à côté de lui, même perchait sur ses talons. Lorsqu’elle reposa une nouvelle fois son regard sur Stéphane, ce n’est pas lui qu’elle vit, mais Edward. Un Edward heureux, qui lui adressait un sourire des plus tendre. La violence de ce souvenir fit chanceler la demoiselle. Elle prétexta en rigolant détester les rues pavées, surtout lorsqu’elle portait, comme aujourd’hui, des bottes à talons et détourna la conversation à son avantage.

-Alors monsieur Fovrai, qu’est ce qui vous emmène à Pré-au-Lard ? demanda-t-elle d’un ton parfaitement maitrisé et enjoué.

Perséphone écouta la réponse de son interlocuteur, les yeux rivés sur ces pieds pour éviter de rechuter sur ces maudits pavés. D’après ses dires, Stéphane avait déjà retrouvé un emploi, qui malgré tout ne lui prenait pas beaucoup de temps. Elle apprit également qu’il était d’origine française, cela expliquait son accent. Lorsque l’homme fit mention du “sauvetage”, la rouquine leva les mains en signe de redissions et dit en riant

-Vous venez de découvrir mon vice. *comme si c‘était le seul que j‘avais*

Les deux jeunes gens continuèrent à discuter tout en remontant la rue. Arrivés au bout de l’avenue commerçante le silence s‘installa entre eux, la demoiselle pût voir son compagnon regarder frénétiquement de gauche à droite, puis son regard se fixa sur l’enseigne des “Trois balais”. L’ancien enseignant proposa à la jeune Snape d’aller boire un verre dans le pub, sauf si elle avait un meilleur endroit à lui proposer. Pers’ regarda rapidement sa montre, il était déjà plus de 16h et le bar ne proposait pas la moindre collation.

- Est-ce que ça vous dérangerez si nous remontions la rue. Je connais une pâtisserie un peu plus bas. Certes le décor n’est pas fameux, mais l’endroit et agréable pour le goûter.

La jeune femme adressa un sourire charmeur à son vis-à vis et avant qu’il n’est vraiment eut le temps de répondre, elle passa sa main autour du bras de l’homme et l’entraina dans la direction opposée. Ainsi, ils redescendirent rapidement la rue marchande de Pré-au-Lard. Arrivés devant Scribenpenne, la jeune femme pénétra dans la rue sur sa gauche. Devant la troisième boutique, la rouquine s’arrêta net, de sorte qu’elle rentra de plein fouet dans Stéphane. Elle releva la tête vers le jeune homme.

- Excusez-moi. Elle s’éloigna légèrement de lui. C’est ici.

Ils se trouvaient devant le salon de thé de Mme Pieddodu. La vitrine permettait d’apercevoir une décoration rose et à la limité kitch. La tête qu’offrit Stéphane fit rire la cadette des Snape.

-Je vous avez prévenue pour la décoration. Elle n’est pas non plus de mon gout, mais on y sert les meilleures pâtisseries de Grande-Bretagne. Elle s’approcha de la porte et l’ouvrit, faisant signe à Stéphane de la suivre. Entrons.

Le petit aperçu que l’on pouvait avoir à l’extérieur n’était rien en comparaison de ce qu’il y avait à l’intérieur. Les murs étaient peint en rose et mauve à l’exception de celui ce trouvant derrière le comptoir et qui représentait une scène champêtre. Des petits cadres représentant des scénettes romantiques étaient accrochés un peu partout. Au plafond, les lustres ressemblaient à des papillons de toutes les couleurs. Les fenêtres étaient masquées par des voilages roses et sur les rebords des vases remplis de fleurs et de plumes étaient posés. Dans la salle, des petites tables rondes recouvertes de napperons de dentelle, étaient disposées par-ci par-là, et de gros fauteuils moelleux se trouvaient autour. Sur le comptoir trônait des montagnes de cupcakes et d’autres petits gâteaux aux couleurs variées, il y avait également une grosse pièce montée en chocolat décoré de roses en sucre et de chantilly. Derrière le comptoir des étagères croulaient sous des tasses en porcelaine anglaise. Une petite dame replète et souriante s’approcha deux nouveaux arrivants.

-Vous désirez quelque chose ?
-Oui une table pour deux personnes, s’il vous plait. Demanda Perséphone à voix basse.
- Suivez-moi.

Mme Pieddodu fit signe aux deux jeunes gens de la suivre. Ils slalomèrent au milieu des tables et passèrent devant deux couples. La gérante indiqua une table dans le fond de sa boutique. Perséphone se glissa sur l’un des fauteuils.

-Je peux prendre votre commande ?
-Oui je vais prendre un chocolat chaud ainsi qu’une part du gâteau que vous avez sur le comptoir?

Après cette enquis de la commande de Stéphane la petite dame laissa les deux gens. Perséphone décida d’engager la conversation.

-Alors comme ça vous avez trouvé un nouvel emploi ? Que faites-vous ?

Entre temps Mme Pieddodu ramena la commande des deux jeunes gens. Persephone attrapa la petit fleur en sucre et croqua dedans en écoutant la réponse de son interlocuteur.

- Est-ce que ça vous dérangerez si nous remontions la rue. Je connais une pâtisserie un peu plus bas. Certes le décor n’est pas fameux, mais l’endroit et agréable pour le goûter.

- Cela ne me dérange aucunement, je vous laisse me guider !

Sauf que l'ex-professeur de Veranda Bolsd, c'est que l'ex-infirmiere de la même institut prenne sa phrase au pied de la lettre et se jete à son bras. Restant digne à la française, il ne broncha pas, accorda un sourire à la femme accroché au bout de son bras et se laissa enmener par la rouquine. Le couple "officieux" s'en alla dans les ruelles, passant devant divers boutiques et stand. Ils arriverent bientot dans un coin où une horrible buvette rose, et le professeur aller continuer son chemin pour ne pas être trop écoeuré de ce salon de thé à vomir, sauf qu'il fonça droit dans sa compagne qui elle s'était intéréssé à l'établissement.

- Excusez-moi. C’est ici.

*... C'est une blague ?! ... Mon dieu, mais c'est affreux !!!*

- C'est gentillet !

*C'est horrible à vomir !!!*

Retenant un haut-le-coeur, l'homme se résigna à entrer dans le salon de thé de "Barbie Love Ken", passant le premier comme l'exigeait la galanterie française, histoire de voir s'il n'y avait aucun danger et que la femme puisse entrer. Mais sur le coup, l'homme resta choqué ne savant pas si ce décor était dangeureux même juste à regarder. Certains devait s'évanouir ou vomir dés l'entré à la vue de tous les bibelots moches et ridiculement rose. Des draperies rose, des fresques teintées de rose, des roses rose, même la suie dans la cheminée était rose. Des angelots blanc et rose volaent de-ci, de-là, déclarant des missives d'amour à tire-la-rigot. Ils étaient entré dans le monde moldu des "Petits poney" et des "Bisounours". Stéphane se prit une grande claque spirituelle et reprit ses esprit, offrant un nouveau sourire à sa compagne. Les deux se dirigèrent vers le comptoir rose (pour changer) avec des moulures blanches représentant des scènes de la cour de séduction d'un belâtre dans un jardin de paon à une femme merveilleusement belle qui animée, avait les joues qui rosissaient.

-Vous désirez quelque chose ? demanda une grosse femme rose bonbon ave des franfreluches partout.
-Oui une table pour deux personnes, s’il vous plait.
- Suivez-moi.

Escorté par la grosse boule en guimauve parfum famboise, le couple alla prendre une table désigné par la nommée Mme Pieddodu. En passant Stéphane fit encore tourner de l'oeil voyant que des couples se tenir la main, jouant des yeux et des cheveux dans le but prochain de forniquer... Quel manque de classe. Ces anglais avaient détournés le charme de la séduction pour en faire des parties de jambe en l'air avec des naïfs... S'asseyant sur dans un fauteuil rembouré de coton, ils leurs furent demandé les consommations. Perséphone semblait être une habitué puisqu'elle donna de suite une commande précise. Stéphane dû relire deux fos la carte pour enfin trouver le sujet de ses envies.

- Un Fondant d'amour caramélisé avec une ... Tisane du bonheur amoureux...

*Mais qu'est-ce que je viens de dire ?... Je perd ma virilité !!!*

La grosse dondon rose s'en alla dans les allées faisant voler sa fine dentelle de tout côtés. Stéphane se plongeait dans ses pensées les plus sombres pour tenir le coup et ne pas succomber au spectacle de l'amour, mais la belle demoiselle en face de lui engagea la conversation.

-Alors comme ça vous avez trouvé un nouvel emploi ? Que faites-vous ?

- Oui, je n'ai pas eut du mal à me voir offrir à la sortie de Veranda Bolsd, la place de président d'un club de duelliste sur Londres. J'ai toujours était doué en sortilège et apparement cela se savait même chez les professionnels des sortilèges. Mes horaires sont assez destructurés, je commence à midi pour terminer à 14h00, mais je rouvre ce soir de 20h00 à Minuit. Les duellistes ont un travail à côté et moi, j'ai d'autres projets à réaliser, mais cest assez ennuyant à vrai dire... Et vous ? Vous avez un emploi en ce moment ? Vous avez des projets ?

L'homme attenditque sa compagne du moment lui réponde, tout en songeant à ce qu'il pourrait mettre dans son carnet à la page Perséphone, en sachant que désormais dans hobbie on pourrait lire "Apprécie les gourmandises de salon de thé rose à franfreluche". Bientot un angelot au sourire ridicule apporta les consommations.

Perséphone écouta avec attention son interlocuteur. Visiblement l’homme occupait le poste de directeur dans un club de duel. La jeune fille hocha la tête tout en continuant à faire la fête à sa pâtisserie. Lorsque Stéphane lui demanda où elle en était en ce moment avec sa vie professionnelle, elle s’empressa de finir sa bouche.

-Non pas l’ombre d’un. Enfin si, j’ai remarqué qu’une boutique recherchait une vendeuse sur Pré-au-Lard. Mais je doute d’obtenir le poste, mon nom a tendance à terroriser les gens *enfin quoique que si le patron et un vieux pervers je peux toujours jouer de mes charmes*. Sinon je pense m’adresser à Saint-Mangouste, après tout j’ai fait des études pour être infirmière et cette fois le nom de mon père adoptif fera oublier celui de mon père biologique.

La rouquine fronça le nez à l’évocation de sa famille d’adoption. Il est vrai que le nom de Lukas pourrait lui être utile pour entrer à Saint-Mangouste, mais il risquerait aussi de lui causer quelques ennuis. Si elle utilisait le nom des Shayde, comme piston pour rentrer à Saint-Mangouste, cela permettrait à ses parents d'adoption de la retrouver. La jeune femme tenta de chasser un angelot qui lui tournait autour avec insistance avec sa harpe, mais le petit être s’envola bien vite. Puis elle s’empressa de faire dévier la conversation sur le club de Duel de son compagnon.

-Alors comme ça vous êtes directeur d’un club de duel. Dit-elle d’un ton enjoué. C’est fantastique ! *peut être un peu trop enjoué là…*. Est-ce que vous pensez que je pourrais vous acc…enfin que je pourrais venir voir votre club ce soir ? Je ne suis pas particulièrement douée en sortilège *même plutôt naze*, mais je n’ai rien de prévu pour la soirée, si ce n’est me coller devant la télé et engloutir le paquet de friandise que j’ai acheté cette après-midi.

La petite créature ailée était revenue tourner autour de la tête de la demoiselle. Mais cette fois la rousse envoya valser le petit angelot d’un revers de la main. Le petit bonhomme alla se cogner contre le sucrier. La jeune femme jubila.

-Yes trois points. Elle pointa l’index vers sa pauvre victime. La prochaine fois je te noie l’emplumé. Puis elle releva le nez vers son vis-à-vis et eut un petit rire gêné. Je suis désolée, je ne supporte pas ces petits trucs qui viennent voleter autour de nous. En fait je déteste le décors de cette endroit, mais je raffole de leurs pâtisseries.

Persephone finit sa tasse de chocolat d’un train puis s’essuya la bouche avec une serviette en papier…rose.

-si vous êtes d’accord pour ce soir, peut-être pourrions nous aller boire un verre avant, ou après. Et cette fois je vous jure que je vous laisse choisir l’endroit.

- Je dois avouer que vous avez un goût plus sur que moi pour ce qui est de choisir les restaurants. Je m’incline. Oh et je vous remercie d'avoir payé à la pâtisserie. Mais franchement vous n'auriez pas dû, ça me met mal à l'aise.

- Je m'en escuse alors, disons que quand nous nous reverons, je vous laisserez décider de comment règler, mais ce soir c'est moi qui invite !

Le serveur arriva et s'enquit de prendre commande. Stéphane attendit que son invité choississe, puis une fois celle-ci commandant un curry de lapin, Stéphane annonça un faisan rôti et son riz safrané. Une fois le serveur repartit annoncer la commande en cuisine, la demoiselle à sa table entama la discusion.

- Vous venez souvent ici ? Car vous semblez être connu de la maison ?

- Oui, j'y mange tous les jours, soit le midi, ou alors le soir. Ce restaurant est agréable et discret malgré sa présence du côté des moldus, mais la cuisine y est bonne et le personnel aimable et réservé, ce qui évite des questions trop personnelle.

Stéphane contrôla le temps qu'il restait à sa montre qui indiquait "Prends ton temps pour manger". Ainsi, ils pourraient prendre le temps de profiter autant des plats que de l'autre, et Stéphane ne se fit pas prier.

- Que faites-vous dans la semaine ? J'aimerai qu'on se revoit, mais autrement que par le hasard, même s'il fait bien les choses. J'ai biensur plusieurs choses à faire, mais votre présence m'est aussi précieux qu'une bouffé d'air frais.

Le serveur arriva et déposa les plats. Chacun commença à déguster son plat respectif tout en continuant de bavarder. Le faisan avait bon goût et se mariait à merveille avec le vin typique de France, Stéphane était encore trop attaché à ses origines pour pouvoir complètement vivre à l'anglaise. La soirée se passait à merveille, quand soudain apparutentre le couple une enveloppe blanche marquée d'une baguette noire en diagonale. Stéphane s'empara aussitot de la missive et la fourra dans sa poche.

- Escusez-moi, je dois aller me laver les mains, je reviens rapidement.

Se levant, il prit la directoin des toilettes et entra dans sa piece immaculée. D'un coup de baguette qu'il dégaina avec rapidité, il bloqua la porte et s'emprit d'ouvrir sa lettre.

"Le projet "Feu du Brésil" est lancé. Le réseau Congolais a perdu deux membres, aucune fuite. Contacte à Bosgouet favorable. Recherche en Béliorussie infructueuse. L'Ordre anglais est en attente d'instruction."

Stéphane plia la missive et y mit le feu au-dessus du lavabo. Les cendres furent ensuite évaporé par un Evanesco. Le message quotidien des forces de Lord Mystago maintenant livré, Stéphane serait tranquille pour la soirée. Il savait que partout dans le mode des actions étaient menés en des noms diffèrents sans que personne ne sache encore que Lord Mystago avait monté des réseaux internationaux. Les nouvelles étaient bonnes sauf pour la perte de deux membres en Afrique, mais cela ne semblait pas inquiétant, ils devaient être mort, mais les autres ont du nettoyer toutes traces.

Stéphane ressortit de la salle d'eau et regagna sa place en face de la demoiselle.

- Je suis navré de vous avoir délaissé, j'ai de la famille en France qui ont des problèmes, mais je règlerai ça demain.

Le repas se déroula sans aucun problème, les désserts arriverent, dont pour Stéphane un pudding, puis une fois le repas payé, ils s'en allerent, Stéphane ouvrant la marche vers le côté sorcier, en direction du club de duel. Il était plus silencieux dû au fait qu'il réflechissait à son "travail". Mais bientot ils déboucherent sur le bâtiment qui représentait un cinéma en état de délaboration, mais une fois passé, et franchit les repousse-moldu inoffensif, ils entrerent dans le batiment qui était une sublime salle avec plusieurs estrades pour les duels. Stéphane donna un coup de baguette qui illumina la salle. Les bougies des chandeliers aux murs s'allumerent et Stéphane fit apparaitre des boules lumineuses au plafond illuminant la grande piece. Alors qu'ils passaient devant une estrade verte avec la représentation d'une forêt aux bords de l'estrade, un premier sorcier transplana, bientot suivit d'une vingtaine d'autres, la séance de duel allait commencer.

Leurs commandes arrivèrent finalement. La rouquine fit tomber sa fourchette lorsque son interlocuteur lui avoua trouver sa présence précieuse. Elle resta quelques secondes indécises puis se baisse pour la ramasser.

*-Ben alors tu perds tes moyens, t'es toute troublée ma biquette. Il semblerait que t'es une touche. T'as une touche, t'as une touche, t'as une touche !!!*

Elle s'empressa de répondre pour faire taire cette petite voix qui chantonnait dans sa tête, elle avait l'impression d'entendre sa sœur. Lorsque petites, elles s'asticotaient.

-ben...avec mon emploi du temps de ministre, j'avoue que je l'ignore.Dit-elle en rigolant. Mais je vais bien trouver un créneau pour vous. Ca m'embêterait d'avoir votre mort sur la conscience parce que je vous ai privé de ma compagnie.*Parce que ta une conscience toi maintenant ?!*

Elle adressa un sourire des plus charmants au brun en face d'elle. Puis bût une gorgée de son verre.
Le reste du repas se déroule le plus normalement du monde. Enfin normalement, une soirée entre sorciers ne peut jamais vraiment se dérouler normalement. Au bout d'un moment, alors que les deux jeunes gens avaient fini leurs plats, une petite enveloppe blanche apparue entre eux deux. Stéphane prétexta un passage aux toilettes et s'éclipsa. Laissée seule Persephone se mit à pianoter sur la table. Cela n'allait pas les déclarations de l'homme la déstabilisaient. Il lui faisait perdre tout ses moyens. Il n'était pourtant pas dans sa nature d'être surprise. En normalement c'était elle qui jouait avec les hommes et non l'inverse. Il fallait qu'elle se reprenne en main et rapidement. Elle ne pouvait pas se permettre de laisser la situation lui échapper si facilement. La rouquine fut sortie de ses pensées par le serveur qui vint débarrasser leurs assiettes. Elle attrapa son verre et en finit le contenu d'un trait. La demoiselle releva le nez vers son compagnon, ce dernier s'excusa avançant des problèmes familiaux.

-*cesse de sourire dans le vent, secoue toi... * Hum...je comprends. Dit-elle avec un parfait détachement.

Le repas se termina bien, Stéphane régla l'addition puis le couple sortie dans la rue. Durant tout le chemin, la jeune femme constate que le sorcier resta silencieux, il semblait visiblement préoccupé par quelque chose. La jeune femme en fit autant, elle le suivit sans mot dire.
Ils débouchèrent finalement sur un cinéma désaffecté. Le lieu intrigua fortement Pers'. Mais une fois qu'ils eurent franchit la porte, l'enchantement pour repousser les moldus se leva, laissant apparaître un lieu plus propice aux duels de sortilèges. Alors que Stéphane s'occupait de l'éclairage, elle alla s'asseoir sur un banc et déposa ses emplettes de la journée à ses pieds. Les membres du club commencèrent à arriver les uns après les autres. Rapidement une vingtaine de personnes furent présent. Visiblement ses gens se connaissaient déjà, car des petits groupes c'étaient formés. Après un petit speech de la part de Stéphane, les duels commencèrent. La rouquine les observa pendant un moment. Elle tenta d'avoir l'air intéressé mais elle se lassa vite de tout ça.

-*tu vois où ça te mène de jouer les jeunes filles conquises. A t'ennuie comme un vieux rat, les fesses visées sur un banc. Alors sur tu pourrais être vautrée sur ton canapé, emmitouflée dans ton pyjama à te goinfrer de friandise devant la télévision.*

La jeune Snape émit un petit grognement de protestation.et se mit à jouer nerveusement avec ses doigts. Elle commençait sérieusement à s’ennuyer, mais il aurait été plutôt malvenu de sa part de protester car après tout, c’est elle qui avait demandé à venir. La elle avait une furieuse envie de se coller une paire de gifles. Au lieu de ça elle poussa un nouveau soupir et s’allongea sur le banc, la tête posée sur son bras gauches et les jambes repliées. C’est en regardant les duellistes qu’elle finit par glisser dans les bras de Morphée. La rouquine somnola tout le reste de la soirée. Elle ne bougea pas lorsqu'elle entendit les membres du club se saluer, ni même lorsqu'elle entendit des pas se rapprocher d'elle. En fait elle n'osait pas bouger. Elle redoutait un peu la réaction de Stéphane, après tout elle s'était endormie alors qu'elle avait demandé à l'accompagner. Et franchement elle s'en voulait peut être un peu sur le coup.

Stéphane quitta sa compagne qu'il délaissa sur un banc qui faisait face à la multitude d'estrade de duel. Montant sur une de celle-ci, il attendit que tous les duelistes mettent fin à leurs discussions pour venir l'écouter.

- Bonjour à tous. Cette nuit le thème des duels sera un duel en milieu urbain. Je rappel qu'il y a la liste des sortilèges interdit par le ministère, mais auss ceux interdits par le code du dueliste. Sur-ce je vous laisse choisir vos partenaires.

Donnant un coup de baguette sur chacune des estrades, un décor urbain s'afficha dans toute la piece, affichant par endroits des poubelles londoniennes, des ruelles sombres représentées chacunes une estrade, même des chats et des rats furent déployés pour rendr ele décor plus réaliste. Accomplissant un sortilège odorant, les vapeurs de pollutions de la ville e de crasses se fit sentir, les duelistes étaient désormais baignés dans un monde urbain et hostile dans lequel ils devront s'affronter. Stéphane se mit avec un nouvel arrivant, puisque un dueliste avait ramené deux de ses freres et s'occupait de l'autre. Désignant le chemin à prendre, Stéphane escorta l'invité dans une sombre ruelle où l'on pouvait voir en hauteur, une fenêtre éclairé par une habitation moldu. Sortant de la lumiere du réverbère, Stéphane expliqua comment aller se dérouler la séance.

- Bien, j'ai vu que ton frère t'a fait voir la liste des sorts à ne pas utiliser. Donc nous pouvons commencer, nous allons nous salluer, puis nous retourner et faire trois pas chacun, se retourner, et attaquer comme on le souhaite. Il est interdit d'attaquer dans le dos, cela est une mesquinerie réservé aux lâches. Pas de sortilège de désarmemnt, nous sommes la pour combattre, et non pas pour se défendre. Si jamais tu hésites à attaquer, je ferai en sorte que la prochaine fois, tu n'hesite pas ! As-tu compris ? Oui ? Alors saluons-nous !

Les deux duellistes se salluerent, puis se retournant firent trois pas, pour se refaire face à face. Stéphane voulait que son invité tir le premier, mais il semblait hésiter, erreur fatal, Stéphane n'attendit pas un centieme de seconde de plus et lanca un sortilège qui vint faire trébucher l'invité, Stéphane s'approcha de celui-ci encore sous le choc et y placa sa baguette sous la gorge.

- J'ai gagné. N'hésite pas à faire feu, pourquoi ne m'as-tu pas attaqué ?

- Je ne savais pas quel sort lancer...

- Il faut toujours préparer son attaque à l'avance ! J'aurais lancé un impardonnable, tu ne serai plus de ce monde, mais nous sommes là justement pour l'éviter, alors relève-toi et combat avec John là-bas, son camarade cherche toujours à me défier...

Et en effet, alors que John venait d'être mis à terre par son adversaire, celui-ci s'approcha rapidement de Stéphane prêt à en découdre comme tous les soir. Le nouveau alla voir John et se salluerent, Stéphane perdit du regard son apprentt et se conentre sur William, celui qui à chaque fois recherchait la victoire.

- Comme d'hab' Stéph ! Ne retient pas tes coups !

Avec un clin d'oeil, William leva la baguette et salua Stéphane qui l'imita. Cet adversaire était puissant, mais Stéphane restait maître de la situation et était satisfait de se faire surprendre par ce membre qui cherchait toujours à innover. Faisant les rois pas comme covenus tout deux se retrounerent, et Stéphane n'eut pas à atendre la premiere attaque. Son adversaire se redressa et envoya des vagues de force d'un simple mouvement de poignet qu'il répétait. Stéphane abaissa sa baguette et se constitua une bulle protectrice. Il envoya par la suite deux poubelles sur son adversaire qui les esquiva, ayant déjà remarqué l'avantage du décor. En réponse à la provocation, Willian transforma une des poubelles en gros chien semblant enrâgé qu'il lanca sur Stéphane. Dans un glapissement, Stéphane redonna forme à la poubelle qui retomba avec un bruit métalique. Découpant la poubelle il en envoya des morceaux tranchants sur son adversaire qui se replia derriere sa cape qu'il solidifia permettant ainsi une protection derriere ce mur de toile solide. D'un revers de baguette, il envoya des étincelles autour du président duelliste qui constata que là était l'innovation, et que des particules d'étoiles l'entourait en tout endroit, ne sachant ce qui allait l'attendre, Stéphane lanca un sort de souffle à ses pieds et décolla dans les airs échappant aux étincelles qui venaient de foncer sur sa position. Amortissant sa chute sur le toit d'un HLM moldu, il fut vite rejoint par William qui rattaqua. Stéphane se défendit de chacunes d'elle et lanca un sortilège de dérobement, faisan chuter du toit le dueliste qui eut juste le temps d'amortir sa chute. Stéphane sauta du batiment et fit de nouveau son sort d'air pour écraser au sol William pendan que sa chute s'amortissait. Stéphane termina alors sa réception genou sur le torse de william, baguette sous la gorge.

- Gagné. C'était quoi ce sortilège d'étincelle ? Ce n'est pas une sorte de mélange du Filis Ilumina et d'Implosion ?

- Si mais ça n'a pas marché assez rapidement, tnt pis pour ce soir, mais je finirai par te vaincre un de ces jours !

- Je l'espère bien !

Stéphane sallua son adversaire qui s'en alla vers un aure duelliste. Observant sur son banc son invitée qui s'endormait, Stéphane se retint d'aller la raccompagner, devant avant tout s'occuper de son club. Il était 23h30 quand le dernier exercice et le plus attendu de tous survint.

- C'est l'heure de la bataille ! William constitura son groupe, moi le second, après-toi William !

Ainsi les deux meilleurs duellistes se chargerent de se répartir les vingts membres, formant ainsi deux groupes de dix, John et les deux nouvelles recrus étaient dans les rangs de Stéphane, et une fois les membres répartits, chacun des groupes allerent dans un coin de la piece pendant que le décor se transformait un réel quartier urbain Londonien, les estrades laissrent place à de réelles ruelles sombres. Une fois le décor totalement transformé, Stéphane organisa son groupe.

- Walter, tu prends avec toi Lewis et John, vous vous occuperez de la rue à gauche. Vous deux les nouveaux, vous prendrez avec Edwar la rue de droite. Gregory et Sylvain vous irez vous planquez dans les batiments où vous aurez un angle de vue parfait sur les carrefours. Gaël, tu vent avec moi nous allons combattre sur les toits. Si vous faites face à u groupe trop imposant, envoyez des étincelles rouge en l'air, Gaël et moi interviendrons. Allez déploiement.

Le groupe se scinda en plusieurs partit, des sous-groupes de trois ou deux se formerent, pendant que d'autres partaient seuls pour se positionner non loin de leurs objectifs, prêts au sprint. Stéphane produisit un son de corne de brume pour signaler à William que son groupe était prêt. Quelques minutes plus tard, le même son mas depuis l'autre côté de la piece se fit entendre, et c'est alors que des deux camps des membres hurlerent d'excitation. Stéphane regarda le groupe de nouveaux escorté par Edawr courrir dans la ruelle de droite, alors que dans la ruelle de gauche le même spectacle se produisait. Gregory et Sylvain avaient tout deux disparus dans le quartier, certainement déjà en position, Gaël lanca un sort d'ascension et atterit sur le toit, Stéphane fit de même. William ne semblait pas avoir posé de membres sur les toits, cela serait trop facil. Sur la droite jaillit une gerbe d'étincelles rouge et Gaël fonça dans la direction pour aller aider le groupe de nouveau qui devait fare face à un trop gros nombre d'adversaire. Stéphane allait le suivre, mais son instinct lui dicta qu'il fallait mieux attendre et en effet, alors que Gaël depuis le toit lancait ses sorts, William et deux autres de ses acolytes bondirent sur le toit pour prendre Gaël dans le dos. A trois contre un, Gaël n'aurait aucune chance. Stéphane lanca un sort qui fit valser un des sbires de William pendant que celui-ci tira dans le dos de Gaël qui fut pétrifié. L'autre acolyte de William posa sa baguette sur le cou de Gaël pour lui signaler qu'il était battu. Gaël se releva et retrourna dans le fond de la pièece, rejoindre les autres membres battus dans ce combat. Stéphane faisait face à William et un de ses gardes (l'autre étant tombé du toit à cause du sort de Stéphane, il avait dû être touché par un des nouveaux) ce fut un combat à deux contre un qui s'engagea alors qu'il entendait dans son dos les membres du groupe de la ruelle de gauche se plaindre de ne trouver aucun adversaire. Le groupe alla foncer au milieu de la piece, donnant sur une petite place, là où un groupe de William se préparait au combat. Stéphane devina que le groupe de trois de la ruelle de gauche et que les deux "snipers" dans les batiments allaient évincer ce groupe de William. Stéphane reprit conscience de son propre combat. William lui lanca un premier sort que l'ancien professeur annula d'un simple mouvement, et lancant à la suite un sort au sbire de William qui sut se défendre. William et son acolyte lancerent tout deux un sort chacun que Stéphane put annuler, puis, les deux toujours en avancant déciderent de faire feu à volonté. William lanca un sort complexe qui aurait du faire tournoyer Stéphane dans les airs, mais fut coupé dans son élan par un sortilege de reducto que Stéphane lanca sur la cape de William qui se faisait étrangler par le cordon de sa cape trop petit. L'autre adversaire lanca sort sur sorts, tantot des sorts d'upercut, tantôt des sorts de babillage que Stéphane fit dévier en tout sens avant de faire rebondir un des sorts attaquant droit sur son adversaire qui bafouilla d'un coup. Pendan que celui-ci tentait de se lancer un contre-sort de babillage, Stéphane produisit un sort qui fit glisser par terre Wiliam qui venait de couper le cordon de sa cape, une fois au sol, Stéphane signala sa victoire avant de faire culbuter à nouveau le babilleur pour lui signaler sa même victoire. Stéphane prit la direction de la place pour voir l'évolution de son groupe alors que William et l'autre babilleur s'éloignerent sur le banc de touche. Un des lanceurs de sorts d'élite de Stéphane réfuié à l'étage d'un magasin de vêtement venait d'être touché mais restait en jeu. Les derniers survivants de illiam furent bientot prit à revers par le second sorcier qui devait etre dans un batiment, et une des nouvelles recrues que Stéphane s'empressa de rejoindre, les derniers de William furent abbatu en regle. Le groupe de Stéphane vainquit avec quatre survivants dont une nouvelle recrue.

Stéphane alla féliciter chacun sur ses actions puis se salluerent tous et rentrèrent chez eux, il éait minuit. Stéphane fit disparaitre le décor laissant place aux estrades comme à l'état d'origine quand il étai arrivé. Il retourna vers Persephone, celle-ci s'était endormi sur le banc, presque en boule. Stéphane utilisa un sort de locomotion et l'enmena chez lui où elle pourrait dormir plus tranquilement. L'instalant dans son lit, Stéphane la quitta alla prendre place sur son canapé. Stéphane prit la précaution de fermer à clé la porte de son bureau, mieux fallait ne pas prendre de risque, on ne savait jamais.