Interrogatoire au White Shadow [RP suite "Réapparition dans le commun des mortels ?!"]

par Winry Searrs Sam 28 Nov - 14:16

Je regardais les alentours, faisant attention aux moindres détails, histoire que rien ne m’échappe. Je vis un piège à vampire quelconque, une simple babiole, un spray à l’ail qui s’enclenchait à chaque fois que quelqu’un passait la porte d’entrée. J’étais dehors, dans une petite ruelle de Pré-au-Lard, juste devant un petit bar miteux. Une enseigne au dessus de la porte indiquait d’une lumière faible le nom du bâtiment. Le White Shadow. C’était bien mon lieu de rendez-vous.

En effet, la veille, quand la lune était juste la seule lumière naturelle qui éclairait l’Angleterre. J’avais fais la rencontre d’un professeur de Veranda Bolsd, mais le Monsieur avait un doute sur mes origines. Dommage que je ne pus lui présentée ma sœur jumelle, d’ailleurs je n’ai plus aucune nouvelle d’elle. Paix à son âme, pour moi elle était morte depuis bien longtemps. Enfin bon, là n’est pas le sujet. Le professeur m’avait donc donné un rendez-vous dans cet endroit sal qui empestait l’ail, pour en savoir surement plus à mon sujet.

Je poussai la porte et à peine je mis un pied à l’intérieur du bar, que le « piège à vampire » m’aspergea d’une odeur répugnante. Je ne ressentie rien, à part un profond dégout sur l’odeur que je devais avoir maintenant. Heureusement, je suis prévoyante, je refermai donc la porte, avançai un peu plus afin d’éviter de me reprendre une « purification » et sorti de mon sac en bandoulière un parfum nommé Alien. Je m’en parfumai légèrement afin de couvrir l’odeur de l’ail et le rangea. Je levai la tête afin d’observer le plafond et remarqua que le bois était pourri. Prions pour qu’il ne s’écroule pas cette nuit. Je rabaissai la tête et passa un léger coup d’œil dans la salle. Il n’y avait presque personne, ce n’était pas étonnant, vu ce terrible bidule à l’entrée, cela ne donnait pas l’envie de vouloir revenir ici. Les tables et les chaises étaient à peu près correctes, ainsi que le comptoir. Je crois en fait, que l’installation du bar était récente mais que le bâtiment en lui-même était plutôt miteux. Il y avait aussi des toilettes et un vestiaire, le juste nécessaire en gros.

Je pris donc place à une table, le bois de la chaise n’était pas des plus confortables, mais bon, il ne faut pas non plus être exigeante à ce point là. Je m’assis donc en attendant notre petit curieux qui n’était toujours pas arrivé. Je regardais l’entrée, même au-delà, pour le voir arrivé et me préparé à son entrée.

par **Stéphane Fovrai** Lun 21 Déc - 15:58

Le professeur Fovrai observait déjà la ruelle quand il vit la vampire arriver. Celle-ci n'avait pas changé depuis la veille, toujours aussi méfiante et dotée d'un air hautain, imposé le respect par son charisme. Le professeur Fovrai perdait son statut de professeur quand il pouvait entrevoir une chance d'augmenter son savoir et sa puissance. Et bien que les vampires aient subbit de nombreuses pertes depuis l'attaque de l'hôpital, Fovrai ne pût qu'apprécier son plan en constatant que maintenant les vampires s'etaient divisés.

Le clan des vampires était une opportunité s'ils rejoignaient les mages noires, mais ceux-ci ayant des différents, il fallait trouver un moyen de recruter les vampires, créatures de la nuit assez utile, surtout avec leurs dons. La seule possibilité de se faire rejoindre par les vampires, s'etaient dissoudre leurs clans, pour que ceux-ci perdent leurs repères et rejoignent les mages de Stéphane.

Peu de temps après l'épisode de l'embuscade, organisé par Fovrai et aidé par son second, Quinn, Stéphane notait que déjà des vampires venaient à lui, tout comme cette ancienne élève qu'il pourrait certainement nommé à un poste vampirique dans sa compagnie. Il la sentait, malgré son fort tempéramment, dans une position de faiblesse, autant en profiter.

Sa victime qu'il pourrait adjoindre à sa "famille", entrait dans le pub. Celui-ci avait été choisit pour être dirigé par une ancienne Serpentard qui avait été l'amie de la fille même du mangemortesque. La fille de Severus restait introuvable, le professeur Fovrai aurait bien voulut la faire entrer dans son groupe, elle était en quelque sorte un symbole, mais peine perdu, personne ne savait même si elle etait encore vivante. Seuls quelques-uns de ses anciens amis étaient trouvable, tout comme cette Slytherin Azuki. Le professeur s'en occupera plustard, pour cette soirée, seul le succes de l'accession de la vampire à sa famille était fixé comme objectif.

Le professeur entra dans l'établissement. Il alla rejoindre sa camarade du soir juste aprés avoir passer commande à la gérante pour deux "Exotic Night". Posant sa cape de façon à ne pas la froisser, l'homme s'assit en face de la convive.

- Bien le bonsoir mademoiselle Searss !

Le professeur connaissait le nom de la vampire, c'etait apres une longue recherche sur une ancienne vampire qui était à l'école que le professeur s'aperçu en fait qu'elles étaint deux, deux jumelles. Les dossiers n'avaient pas été détruit certainement dans le but de revoir ces deux soeurs, mais leurs envie de sang fut certainement plus fort. Il n'empeche que Stéphane savait que la personne en face de lui n'était autre qu'une des deux soeurs.

- J'apprécie votre ponctualité, mais celà est normal puisque votre avenir dépend de notre entretien. Bref, cesse de détour, je vo...

La serveuse déposa les deux exotics night, coupant la conversation du client. Le professeur ne s'en offusqua pas, il sortit même de sa poche 20 Gallions qu'il déposé dans la main de la jeune femme.

- Gardez la monnaie, c'est une joie pour moi de me faire servir par une femme aussi plaisante que vous l'êtes !

Sur ces paroles, la suposé nommée Azuki s'en retourna à son comptoir, jettant de temps en temps des regards à ses deux clients.
Le professeur reprit sa conversation avec celle qui sirotait déjà son coktail.

- Désolé de ne pas avoir trouvé quelques gouttes de sang, mais ce coktail est un ravissement pour le palais, même vous devriez l'apprécié ! Bref, je disai donc vouloir vous offrir un avenir plus que prometteur. Etes vous aussi attaché à vouloir aller dans cette école où élève vous méprisseront et professeur craindront ? Je peux vous offrir mieu. Je vous offre une famille où la différence permet la force, je vous promet un salaire bien qu'entre membre d'une même famille on ne s'achete pas. Je peux vous offrir le respect qui vous revient, et l'admiration de certains. Je ne pourrai en dire d'avantage appart si vous veuillez bien signer ceci ! Je rappell aussi que si tu accepte et que tu le souhaite toujours, je pourrai tout de même te faire entrer à Veranda Bolsd.

Le professeur glissa devant la vampire un parchemin. Le professeur expliqua que ce bout de papier était soumis au sortilège du fidelitas. Grand mettre des sortilèges, il était aisé pour Stéphane de créer ce genre d'objet.

- Ce parchemin stipule que vous seriez obligé de garder le silence sur tout ce que je, ou tout autre membre de ma "famille", puisse vous dire, enseigner, et exercer. Aussi, il est impératif que le père de cette heureuse famille (moi) puisse quémander l'aide de sa fille sans que celle-ci ne puisse lui faire d'affront ! En echange de cela, sur ma vie, je vous offre ma sécurité et l'acces à mes savoirs et à ma force !

Le professeur vit le visage de la fillette se transformer en facié d'intense reflexion. Le sourrire rassurant du professeur laissait entierement le choix à la vampire, mais il était clair pour eux deux, qu'une signature sur ce parchemin les lieraient à vie à faire partit du même groupe.

- Alors ?

par Winry Searrs Sam 2 Jan - 19:02

« _ Bien le bonsoir mademoiselle Searrs ! »

Je regardai notre cher professeur s’assoir devant moi. Je l’observai d’un léger coup d’œil, il avait l’air de cacher quelque chose qu’il n’allait pas tarder à révéler. Plutôt confiant, il devrait se méfier, je n’étais pas venue pour rien. Il commençait à m’intéresser ce monsieur, il ne montrait aucun signe de faiblesse, et j’aimais ça, j’aimais m’amuser à trouver le point faible des gens, afin de pouvoir les manipuler.
J’avais effectivement beaucoup changée caractériellement, j’étais devenue plutôt hautaine, narcissique et vantarde. Du moins, c’est ce que je montrais au premier abord, en réalité, ma faiblesse restait toujours la même, beaucoup trop sensible.
Quand je me rendis compte qu’il m’avait appelé par mon nom, mon sourcil droit se leva et je le regardai l’air méfiante. Une personne inconnue qui connaissait mon nom n’avait rien de bon, mais comme il était professeur, il avait dut regarder dans les archives de l’école afin de retrouver de quelconques indices sur mon passé. Rien de bien grave en soi, car j’étais jusqu’à alors invisible aux yeux d’autrui. Je voulue lui répondre cordialement mes sincères salutations mais il se remit à parler avant que je puisse en placer une :

« _ J'apprécie votre ponctualité, mais cela est normal puisque votre avenir dépend de notre entretien. Bref, cesse de détour, je vo... »

Le Monsieur fut couper en pleine conversation, qui me semblait dès alors longue et passionnante, par la servante qui déposa un cocktail juste sous mon nez et un deuxième devant le professeur. Le cocktail sentait plutôt bon, avait une belle allure. Je me mis alors aussitôt à le goûter, c’était visiblement ou plutôt « savoureusement » un Exotic night, alors je le sirotai tranquillement regardant l’homme qui m’avait invité jusqu’à maintenant toujours inconnu, donner un bon pourboire à la jeune fille, qui elle semblait n’avoir jamais vue autant d’argent dans ses mains. Pauvre petite :

« _ Gardez la monnaie, c'est une joie pour moi de me faire servir par une femme aussi plaisante que vous l'êtes ! »

Oh les compliments sortaient de la bouche de ce gentleman. Il se remit à me regarder et paraissait surprit de me voir déjà boire comme un trou mon petit « sirop ». Bah ouais mon pote ! Ca c’est la vie, la vraie. C’est à boire qu’il nous faudrait en plus à Veranda Bolsd, à boire je vous dis, je donnerais donc ma merveilleuse idée à notre petit directeur, je suis sure qu’avec de bons arguments que je ne citerai point, il ne dira pas non. Bien entendus, tout ceci n’est qu’un simple propos d’une ivrogne en train de boire son premier cocktail depuis des mois et des mois.
Le professeur reprit son beau discours, je remarquai que la servante nous regardait du coin de l’œil de temps à autre, je lui souris. Qu’est-ce qu’elle matait la mignonne ? :

« _ Désolé de ne pas avoir trouvé quelques gouttes de sang, mais ce cocktail est un ravissement pour le palais, même vous devriez l'apprécié ! Bref, je disais donc vouloir vous offrir un avenir plus que prometteur. Etes vous aussi attaché à vouloir aller dans cette école où élèves vous mépriseront et professeurs craindront ? Je peux vous offrir mieux. Je vous offre une famille où la différence permet la force, je vous promets un salaire bien qu'entre membre d'une même famille on ne s'achète pas. Je peux vous offrir le respect qui vous revient, et l'admiration de certains. Je ne pourrai en dire d'avantage appart si vous veuillez bien signer ceci ! Je rappelle aussi que si tu accepte et que tu le souhaite toujours, je pourrai tout de même te faire entrer à Veranda Bolsd. »

Sur cette petite explication de rentrée dans une « fausse » famille, je compris dès alors à qui j’avais à faire. Notre cher homme, n’était autre que Lord Mystago. Mais quel bel honneur que ce cher mage s’intéresse à moi. Mais mon coco, soit pas si sur de m’avoir comme cela, j’aimerais bien tester un peu ta volonté. Il me semblait si sur de lui, moi aussi j’ai ma propre fierté, voyons voir si je peux gardée cette fierté sans que la sienne fasse de l’ombre :

« _ Ce parchemin stipule que vous seriez obligé de garder le silence sur tout ce que je, ou tout autre membre de ma "famille", puisse vous dire, enseigner, et exercer. Aussi, il est impératif que le père de cette heureuse famille (moi) puisse quémander l'aide de sa fille sans que celle-ci ne puisse lui faire d'affront ! En échange de cela, sur ma vie, je vous offre ma sécurité et l'accès à mes savoirs et à ma force ! »

Décidément cette discution était l’une des plus passionnantes que j’avais eus jusqu’à aujourd’hui. En plus, il me laissait le choix, que demander de plus. Je fis mine de réfléchir mais pour moi c’était du tout vu, bien sur que oui j’en ferais partie, mais je voudrais juste tester à quel point je pourrais être importante pour cette « famille ». Il reprit de nouveau la parole pour me dire un :

« _ Alors ? »

Ah, je dois parler là ? Depuis le début de notre rencontre dans ce bar, je n’en avais pas placé une, il ne m’en avait pas laissé le temps en même temps. Je le regardai droit dans les yeux, je penchai légèrement la tête sur la droite, prit une inspiration et je lui sortis alors :

« _ J’ai encore un peu soif, si vous voyez ce que je veux dire. Est-ce que dans votre cher petit groupe, il y aura des rafraichissements à mon goût ? Et puis sachez que dans cette école, je pourrais vous être très utile. Pourtant, je dois vous avouez qu’il y a comme un petit problème… »

Sur cette dernière phrase, je m’arrêtai, un sourire sadique au fond de moi se forma, je pris l’air déçue. Je voulais m’amuser un peu avec notre Lord, qui semblait perplexe sur le dernier mot de ma dernière phrase.

par **Stéphane Fovrai** Sam 2 Jan - 19:33

« _ J’ai encore un peu soif, si vous voyez ce que je veux dire. Est-ce que dans votre cher petit groupe, il y aura des rafraichissements à mon goût ? »

Le professeur esquisa son sourrire le plus charmeur possible sans trop en abusé non plus. Cette vampire avait aussi soif de sang qu de pouvoir, ... intéressant. La fillette avait une descente impressionnante, mais ceci ne signifiait toujours la seule et même chose, un besoin de se faire remarquer. Le professeur pouvait constater que, de par l'acoutrement de a compagne de soirée, elle cherchait la reconnaissance. Le professeur ne pouvait pas trouver meilleure cliente que cette pauvre âme en peinne, cherchant l'intérêt des autres, et essayant de satisfaire son besoin de puissance.
Le professeur savait comment intervenir. Elle veut de la puissance, je lui en donnerai. Elle veut du sang, je lui en trouverai. Elle veut être reconnu comme une personne que l'on remarque, je m'y engagerai !

Le professeur allait lui répondre à ses avances quand celle-ci continua sa phrase, que voulait-elle d'autre encore ?

«Et puis sachez que dans cette école, je pourrais vous être très utile. Pourtant, je dois vous avouez qu’il y a comme un petit problème… »

*Biensur qu'elle me serait utile dans l'éablissement scolaire, c'etait aussi une raison qui permettait de lui laisser le choi !*

Si l'amener dans l'école ne lui servait à rien, au grand jamais aurait-il oser mettre sous l'oeil de son grand ami l'aurortesque, une vampire sous les ordres du plus grand mage noire.
C'est durant cette brève seconde que le professer afficha un sourrire entendu, juste rapide et presque invisible, puisque déjà la vampire faisait des siennes.

*Un petit probleme ? Diantre, que va-t-elle me pondre ? ...*

Le professeur figea un sourrire polie sur sa face, cachant ainsi sa profonde curiosité, ce démon qui le pousse depuis tout petit à tout vouloir contrôler pour tout savoir.

- Je suis tout ouïe ma chère ! Quel est donc ce probleme, que je puisse le régler ?

Drôle de contexte, c'est le recruteur qui propose ses services. Mais comme la vampire pouvait devenir une personne qui lui serait proche, autant déjà mettre en pace un système de confiance et d'entraide. Celui qui avait la fonction de professeur avait bien plus d'une cartes et plus d'un rôles dans son sac. Le fait d'afficher ce personnage serviable, bien que sincere, n'était que facilité pour résoudre un probleme qui sera vite oublié.

par **azuki slytherin** Dim 3 Jan - 16:03

Azuki s'était réaccoudée au bar après avoir servit leur commande à ses deux clients. Un petit sourire en coin se posa furtivement sur son visage. Elle l'aimait bien cet homme. Il maniait bien les mots et il y avait un je ne sais quoi en lui qui lui disait que ça pouvait se réveler intéressant de suivre leur petite conversation. Pas qu'elle s'interressait à la jeune fille qui sirotait déjà à grandes lampés sa boisson. Son petit manège avec le parfum l'avait bien fait sourire. Ne savait-elle pas que ces petits gadgets n'étaient là que pour prévenir les vampires que s'ils venaient pour faire des siennes, il n'étaient pas les bienvenus? Ces jolis petits bouts d'ingéniosité étaient ensorcellés pour ne laisser aucune odeur sur les vêtements. C'était juste un de ses petits caprices pour mettre mal à l'aise les gens qui n'auraient pas du passer le seuil de son antre.

Elle n'avait jamais été réputée pour son attachement au côté des oiseaux qui chantent et des petits lapins roses. De ce fait, lorsqu'on venait chez elle, c'était principalement pour trouver un endroit calme où personne ne serait susceptible de vous vendre au Ministère. Il y avait pas mal d'histoires louches qui débutaient dans son bar même si cela ne faisait que peu qu'elle avat ouvert boutique. D'ordinaire, elle se fichait pas mal de ce que ses clients pouvaient bien manigancer dans leur petit coin de comptoir. Mais s'il y avait une chose qu'elle avait apprise de sa vie, c'était à reconnaître les gens dignent d'intérêt et ceux, bien sur, qui l'exaspéraient. Bizarrement, il y avait ces deux types de personnes assises à la même table.

L'homme semblait sur de lui et dégageait une aura de puissance tandis que la demoiselle posait son regard sur tout et rien avec un petite mine dégoutée qui l'irritait pronfondément. En règle général, elle ne se mêlait pas de ce qui ne semblait pas la regarder de prime abord mais elle allait faire une exception. Cette gamine qui la regardait comme si Cendrillon s'était réincarnait en sa personne la hérissait. La petite princesse sortie de son royaume ne semblait pas satisfaite pas son humble demeure et bien, qu'elle aile découvrir le charme des trois balais... Et pourquoi pas aussi ses aurors.

Azuki passa ses longs cheveux sur son épaule droite et se dirigea vers la table occupée, tenant dans sa main droite un verre de vin duquel se dégageait une odeur métallique. Elle déposa ledit verre devant la jeune fille alos que la conversation semblait en suspens.

- Pour la demoiselle, cadeau de la maison. En esprérant que son palet si raffiné soit satisfait.

Elle lui adressa un rictus qui exprimait tout son énervement face au petit manège de ladite demoiselle depuis qu'elle avait posé un pied dans son antre. Cette dernière regarda le verre sans comprendre. L'odeur métallique se fit plus présente.

*Et oui, petite, c'est bien du sang et de toute première fraîcheur en plus*

Heureusement pour elle que le Ministère n'avait pas la moindre idée de ce qui trainait dans ses placards et encore moins de la clientèle qu'elle avait très tard le soir.

par **Stéphane Fovrai** Dim 3 Jan - 19:04

Le professeur allait enfin découvrir le probleme quad il vit la serveuse apporter une concoction d'une odeur un peu ragoutante, que leprofesseur reconnu de par son experience comme du sang... du sang humain. Le professeur remecia cette aimable attentio de la gérante.

Voulant reprendre sa discusion, tout en attendant que la vampire lâche le gobelet, le professeur fut soudain surpris de voir son hibou apporter un message qui paraissait urgent. S'escusant aupres de sa compagne de table, il déplia rapidement le rouleau.

Profeseur,
Je vous contacte dans l'urgence. Une salle de cours a été découverte ensorcelé ce soir. Quiconque tente d'y entrer se fait expulser avec violence, c'est la salle des potions, votre aide est requise, merci.

Le message provennai d'un professeur de potion. Encore un élève malicieux ou un professeur incompéent qui souhaite requérir à l'aide d'un collegue plutot qu'à sa tête. Ne pouvant faire abstraction de sa fonction de directeur-adjoint, le professeur se leva.

- Je vous prie de m'escusez, j'ai une urgence, revoyons-nous ici un autre jour. Si votre "petit probleme ne peut attendre envoyez-moi un hibou. Milady je vous souhaite le bonsoir.

Le professeur sortit dans l'urgence, tout en prennant le tems de faire tout de même un clin d'oeil à la gérante qui l'observait dans son départ. Le professeur poussa la porte, et aussitot le pas sur le gelé, se mit à transplanner devant le prtail de l'éole qu'il franchit rapidement.

par **azuki slytherin** Lun 4 Jan - 21:13

Azuki se tenait appuyée d'une main sur le coin de la table, attendant un minimum de réaction de la part de la demoiselle. Réaction qui ne semblait pas venir étant donné que celle-ci était plongée dans son verre. Etonnament, c'est son vis-à-vis qui la remercia. Elle ne comprenait pas vraiment cet individu. Oh, bien sur ce petit cadeau n'était pas de pur bonté d'âme. Comment disent-ils déjà? Fidélisation de la clientèle. Enfin bref, elle n'allait pas se tenir la causette toute seule pendant éternam.

Bien que la conversation de ces deux clients semblait plus qu'interressante, papier glissé sur table voulait dire très grande importance, elle se retourna pour rejoindre son comptoir. A peine ce geste fait qu'un hibou s'engouffra dans sa boutique.

*Foutu volatile qui va encore me mettre des plumes partout! *

Elle grimaça pour la forme et vit l'étonnant personnage se lever précitamment.

- Je vous prie de m'escusez, j'ai une urgence, revoyons-nous ici un autre jour. Si votre "petit probleme ne peut attendre envoyez-moi un hibou. Milady je vous souhaite le bonsoir.

Celui-ci s'eclipsa en moins de temps qu'il ne faut pour le dire mais prenant tout de même le temps de répondre à son regard par un clin d'oeil. Une fois la porte fermée, Azuki se laissa aller à éclater d'un rire à la fois cristallin et puissant. Par Merlin, si toutes les journées promettaient d'être aussi interressantes que celle-ci, elle ne regrettait pas d'être revenue en Grande Britonne!

Elle finit par rejoindre son comptoir, laissant la vampire seule à sa table, un sourire carnassier sur le visage. Elle attendait avec impatience la suite des évènements. Elle ne savait pas ce qui se tramait dans les bas fond de Pré au Lard, dont heureusement pour elle sa boutique faisait partie, mais cela promettait d'être interressant, très interressant.

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