M.V. II : Dernier rempart

par **Stéphane Fovrai** Lun 4 Jan - 20:15

- Eh oh ?! Il … il y a quelqu’un ? Je suis coincé !

Ces paroles qui résonnent dans le parc de Veranda Bolsd proviennent d’un homme, habillé d’une veste en tweed avec un bas de jogging violet. L’homme venait de faire tomber son béret à carreaux, pendant sa tentative de passer entre les barreaux du portail de l’école. Pour une tentative d’espionnage en toute discrétion, … c’était plutôt raté.

Tentant de se dégager de sa position inconfortable, l’homme décida de laver ses lunettes crasseuses avec le tee-shirt qui dépassait de son accoutrement. L’homme ne pouvait plus faire marche arrière, et ne pouvait plus avancer, les barreaux du grand portail le serrant au-dessus du bassin et sous les côtes.

Voyant que personne ne l’entendait, l’homme au béret tenta de s’emparer de sa baguette rangée dans sa serviette miteuse, couché sur le sol. S’aidant de son pied, il parvint à trainer son porte-document dans la boue, et de s’en saisir par une main dégagé. En ouvrant son porte-document, il fit tomber un tas de feuilles cornées et déchirées, et commençaient déjà à s’imprégner de la boue qui s’était formé par la neige fondue. Il se saisit de sa baguette, mais celle-ci lui glissa des doigts qui s’engourdissaient. Le bâton alla rouler quelques centimètres plus loin, hors de sa portée.

- Décidément, je pense que ce séjour ne sera pas pire que mon entrée.

Mais l’homme ne savait pas encore ce qui l’attendait. Il recommençait à neiger. Bien que cela ne soit qu’un peu contraignant, ce fut surtout l’arrivée de deux charmantes demoiselles devant l’entrée du château qui lui donna espoir, jusqu’à ce qu’il les entendit rire.

Prenant une posture au plus possible assurée,-malgré toute sa taille coincé par le fer forgée-, il leur sourit en attendant que celle-ci l’aide gentiment.

Les deux femmes observèrent l’homme, s’arrêtèrent quelques secondes pour s’amuser puis repartirent bras-dessus, bras-dessous, laissant en place l’homme qui hurlait pour qu’on vienne l’aider. Hélas, cela n’était certainement pas du goût des deux anciennes élèves de cette école, Azuki Slytherin et Gabriel Disraeli, qui venaient rendre visite à leur amie Perséphone Snape, l’infirmière de l’école.

L’homme ressentit un frisson quand il vit les deux femmes entrer dans l’établissement. Il fut même pris d’hallucinations voyant un dôme au-dessus de l’école de couleur verte, apparaitre et disparaitre. L’homme commençait à perdre la tête à force d’espérer l’aide de quelqu’un.

La nuit commença à tomber, l’homme commençait à désespérer quand un groupe d’élève se promenant dans le parc avant d’aller manger, purent constater une forme étrange dans l’armature du portail.

C’est ainsi que Noémie David, Julius Horg et Owen MacKenzie vinrent à l’encontre de l’homme. Apres de brèves présentations de chaque élève, d’un coup de baguette, ils l’aidèrent à se relever.

- Merci les enfants, je vais dire à votre directeur que vous êtes venus m’aider, je peux constater que les élèves de Veranda Bolsd savent au moins les bases du respect et de l’entraide !

Une fois que l’homme dégagé, Julius pût reconnaitre l’homme et incita ses amis à déguerpir, l’homme sortit un calepin d’une poche et notait déjà avec précipitation des remarques telles que :

- Accueil de deux étrangères sauvages dans l’enceinte.

- Elèves trainant dehors en hiver.

- Elèves usant de magie sans surveillance.

- Portail délabré.

L’homme s’en allait déjà quand il se souvint avoir laissé sa baguette au sol. C’est alors qu’il s’aperçut de la présence d’une autre élève, Mana Maldorane, qui était en train de creuser le sol avec une lueur de démence dans les yeux. Ne souhaitant pas rester plus longtemps, dehors, il alla se réfugier dans le grand-hall de l’école.

C’est à cet instant, poussant la grande porte, qu’une odeur vint lui agresser les narines. C’est aussi à ce moment qu’il aperçut le directeur Dablord, en pleine conversation avec Perséphone Snape qui quémandait d’offrir une nuit à ses amies qui l’attendaient à l’infirmerie, ainsi que des explications sur ces odeurs.

Saisit d’une pulsion, l’homme ressortit à la hâte son calepin, geste qui n’échappa pas au directeur. Evans voulant savoir qui était l’homme se dirigea vers celui-ci, mais fut rabroué par le ton sec de l’homme durant le temps qu’il notait à la hâte en forçant méchamment sur son stylo :

- Elève jouant dans la boue

- Règle de sanitaire certainement pas respectée

- Directeur prenant rendez-vous hors de son bureau

Puis, refermant ses notes et coupant la chique de l’infirmière qui attendait la réponse de son supérieur, oubliant toute règle de politesse, l’homme s’avança, bousculant au passage un élève, et se présenta au directeur sans prêter attention à l’infirmière indignée.

- Monsieur le directeur. Je suis l’inspecteur Telford du ministère de la magie, et je traite l’éducation ! J’ai déjà des remarques à vous faire connaitre ! Accordez-moi un premier entretien tout de suite, sinon je devrai en plus noter que vous faites plus attention aux femmes qui vous entourent plutôt que l’éducation de vos élèves !

Le directeur mena donc l’inspecteur de l’éducation dans son bureau, s’excusant de l’odeur inhabituel qui était survenue en cette fin de journée peu de temps avant l’arriver de l’homme.

par Julius Horg Mar 5 Jan - 17:43

Le jeune Julius Horg avait profité du début de soirée pour s'éclipser dans le parc avant que ne sonne l'heure du dîner. Malgré deux années bientôt passées dans l'école il avait encore bien du mal à s'accomoder de la bruyante animation qui gagnait la salle commune juste avant l'heure du repas et préférait de loin ses promenades solitaires.

Enfin solitaire la promenade ne le fut pas longtemps puisqu'il tomba bien vite nez à nez avec Noémie David. Celle-ci était une des rares amies qu'il était parvenu à se faire depuis son arrivée au sein de l'école. Les cours de quidditch qu'elle lui avait dispensé avec patience l'an dernier avait largeent contribué à, une fois n'est pas coutume, brisé un peu la carapace du jeune serdaigle. Peu après ils tombèrent nez à nez avec Owen MacKenzie, un jeune poufsouffle que Julius ne connaissait alors que de vue.

Par un grand effort contre sa timidité maladive Julius parvint à saluer poliment le jeune garçon et à poursuivre avec lui et Noémie la conversation engagée qui tournait comme bien souvent avec ceux là autours des derniers matchs de quidditch.

Ils se dirigeaient tous les trois vers le chateau lorsqu'ils remarquèrent une forme étrange accroché dans le portail. Julius se serait bien passé de jouer les curieux, il avait eu sa dose d'émotions fortes pour l'année en cours, mais ses deux compères commençaient déjà à se diriger vers le portail. Un petit soupir et il se décida bon gré mal gré à les suivre d'un pas traînant. Au fur et à me sur où ils avançaient Julius vit avec surprise que la silhouette coincée prenait forme humaine. A n'en pas douter il y avait là un pauvre homme coincé dans le portail.

Ils se retrouvèrent donc face à lui et, moindre des politesses, se présentèrent rapidement.

- Je suis Julius Horg.

D'un coup de baguette magique et ils libérèrent l'homme de sa prison et l'aidèrent à se relever.

- Merci
les enfants, je vais dire à votre directeur que vous êtes venus
m’aider, je peux constater que les élèves de Veranda Bolsd savent au
moins les bases du respect et de l’entraide !

Alors qu'il parvenait enfin à distinguer les traits de l'homme un curieux sentiment de déjà vu gagnait le jeune Julius Horg. Il fronça les sourcils jusqu'à ce que ça lui revienne. mais oui! Cet individu n'était autre que cet espèce d'inspecteur à deux balles rencontrés quelques temps plus tôt lors de la journée de Sainte Magouste.

Il déglutit difficilement et articula à l'intention de ses camarades.

- Nous devons rejoindre la grande salle pour le dîner.

Son regard appuyé était très révélateur du fait que cette proposition ne souffrirait aucune contestation et qu'il s'agissait de bien d'autre chose que de partir manger. Il entraîna Noémie et Owen à sa suite tandis que l'homme notait diverses remarques dans son calepin. Rejoignant le hall il consentit à leur expliquer ce qu'il savait.

- Cet homme est un inspecteur, sur la sécurité de l'école ou un truc comme ça. je l'avais déjà rencontré lors de cette fameuse journée où je suis allé au ministère avec le professeur Fovrai. En tout cas si vous voulez mon avis il attend avec impatience de constater des infractions au réglement pour femer ce lieu au plus vite.

par **azuki slytherin** Dim 10 Jan - 20:36

Azuki passa les grandes portes du château qui l'avait accueillit durant toute sa scolarité. Elle remit sa cape en place. Il ne neigeait plus mais le temps restait relativement frisquet quand on avait qu'une petite chemise sur le dos. Il y avait des jours où la jeune femme se demandait si elle n'était pas un peu masochiste sur les bords et si les bords n'étaient pas larges. Si, il y a des restes de neige sur le sol, c'est qu'il ne fait pas chaud. Alors pourquoi n'avait-elle pas mis de pull? Aucune réponse ne lui venait à l'esprit pour le moment et de toute manière, elle venait d'entendre les pas de Gabriel qui avait accepté de la suivre pour un petit tour dans le parc.

Son amie lui lança le regard : "c'est-pas-qu'il-meule-mais-on-peut-se-bouger-maintenant? ". Azuki soupira en voyant ses magnifiques chaussures barbotter dans une bouillasse brunâtre qui n'avait plus rien à voir avec de la belle neige toute blanche. Mais bon, à cet instant précis elle avait besoin de prendre l'air et le parc semblait tout indiqué dans ce genre de cas.

Finalement, elle ne regrettait pas. En quittant la chaleur du château, elle ne pensait pas tomber sur ça! Un homme habillé de manière assez "excentrique" dirons-nous se trouvait coincé entre les barreaux de la grille d'entrée. Elle le regarda un peu ahurie. Mais qu'est ce qu'il avait essayé de faire celui-là?! L'homme en question sembla entendre leurs pas clapottant dans la neige fondue et leva vers les deux jeunes femmes un regard remplit d'espoir. Il leur lança un grand sourire. Azuki se tourna vers Gabriel.

- Je crois qu'il aurait besoin d'un coup de main, ce monsieur?

- Tu crois?

- On dirait mais je ne suis pas sûre...

- Dans le doute, il faut toujours s'abstenir !

Leurs regards se croisèrent et elles éclatèrent de rire avant de partir se remettre au chaud. C'est pas que, mais la promenade avait assez durée. Azuki avait les mains gelées. Hors de question qu'elle mette à l'air libre et glacial ses pauvres petites en sortant sa baguette magique pour écarter les barreaux. Et puis, comme le disait si bien son amie, dans le doute abstiens toi! Si cela se trouvait, c'était un méchant pas gentil qui essayait d'attaquer le château et en temps qu'ancienne et gentille élève, elle se devait de la protéger.

Son rire redoubla. Elle glissa son bras sous celui de son amie et s'appuya sur elle pour réusssir à atteindre le château sans finir sur le sol trempé morte de rire.

par Owen MacKenzie Lun 11 Jan - 0:46

- Tiqué, je t'ai tiqué jaune, à toi bleu, tique-là ... tiqué la rouge, à toi la vert tique la bleu... tiqué la bleu et retiqué sur la rouge, vert est un tiqueur professionnel !

Owen était entrain de jouer avec ses baveboules dans le parc pres d'une grosse pierre à côté duquel un cercle avait été formé par le Poufsouffle pour qu'il puisse jouer. Les autres refuserent de jouer avec lui, il gagnait tout le temps. Owen visait même à devenir le champion du monde de la baveboule. Jouant avec ses billes, Owen ne s'apercut pas tout de suite de la nuit qui tombait. Il se redressa pour partir quand il vit Noémie accompagné de Julius.

- Salut, ca vous dit une partie ? On a qu'a faire tous les deux contre moi, ou alors chacun pour soi, ou alors vous jouez avec deux billes chacun et moi une, ou alors on joue sur une piste, ou encore dans un cercle, vous voulez des pieges sur le parcours, sinon on ne met rien, c'est ca qui est bien avec les baveboules, on peut jouer partout, vous voulez jouer sur le rocher, on peut aussi jouer par terre, mais sur le rocher c'est bien plus marrant, parceque le rocher est rond, mais sinon on peut jouer autre part, ou avec d'autres pesonnes, vous avez des baveboules, moi j'en ai pleins, je suis le meilleur, mais plus personne veut jouer parceque je suis le meilleur, mais des fois je dis c'est pas grave, mais même, ils ne veulent pas jouer contre moi, je sais pas pourquoi, parceque je suis simpa, meme si je laisse gagner personne... Alors on joue ?

Les deux amis prefets se regarderent et refuserent poliement, ils se mirent à parler de quidditch, sauf Owen qui fit la moue mais accepta de les accompaner pour retourner dans l'ecole. Owen se disait qu'apres le repas peut-etre auront-ils envie de jouer, ou meme pendant, mais comme ils etaient séparés cela aurait été difficile. C'est en retournant vers le chateau que Noémie regarda vers le portail et le designa du doigt en disant qu'il était bizar.

- Vite allons voir !

Owen courrut vers le portail suivi de pres par Noémie, et derriere Julius qui reflechissait encore. Owen s'approcha du portail et vit l'homme ridicul coincé dans le portail. Owen alla le saluer et lui demanda s'il voulait jouer avec lui aux baveboules. Mais l'homme ne preta qu'attention à Noémie qui se presentait, puis ce fut le serdaigle d'en faire autant. Owen ne savait pas comment l'homme pourrait jouer avec lui coincé dans le portail, mais heureusement, c'est Noémie qui trouva l'idée de le libérer des barres de fer. Owen allait demander à nouveau à l'homme de jouer avec lui quand Julius l'avertit qu'il fallait rentrer avec un air appuyé pour faire comprendre à ses camarades qu'il devait leur parler.

- Bah pourquoi, j'ai pas faim moi, et puis c'est pas l'heure de manger, on pourrait ... aieuh ! Pourquoi tu me marche sur le ... aieuuuuhhhh ! Mais t'arretes oui ?

Noémie venait de lui marcher deux fois sur le pied pour le faire taire, ce qu'Owen ne compris seulement quand la Gryffi lui dit discretement de se taire.

- Ah oui, euh, oui j'ai faim, ils vont servir plus tôt ce soir non ?

Sur-ce les éleves quitterent l'homme au calepin pour aller dans le hall où Julius leur raconta que cet homme etait un inspecteur. Owen ne comprenait pas en quoi cela pouvait l'empecher de jouer aux baveboules. Owen decida de rester avec les personnes qui ne le fuyaient pas pour une fois, et laissa meme Julius parlait, mais il ne racontait rien d'interessant. Owen ressortit de sa poche une baveboule mauve et regarda au travers.

- Oh, eh Julius, tu es tout mauve ah ! Eh, et toi aussi Noémie, wouha trop fort !

par **Evans Dablord** Lun 11 Jan - 1:36

L’école de Sorcellerie Veranda Bolsd retrouvait peu à peu son calme – inhabituel – après finalement plusieurs années de péripéties aussi imprévues qu’étonnantes et problématiques – années qui se définissaient aisément par « création de Veranda Bolsd » à « aujourd’hui ». C’était sûrement à cause – ou grâce – aux vacances scolaires, et le Directeur en profitait donc pour, pour une fois depuis bien longtemps, délaisser ses obligations administratives afin de se balader dans le château. Il aurait sans doute pu mener son projet à bien si, manque de chance, l’infirmière Persephone Snape n’était pas venue le bassiner avec une autorisation qu’elle attendait depuis déjà plusieurs jours – et que le professeur avait fini par oublier – pour héberger deux de ses anciennes amies, Azuki Slytherin et apparemment une ancienne élève de Veranda Bolsd que, bizarrement, le sorcier ne connaissait pas, même en ayant toujours été le Directeur de l’école. Cette incohérence ne l’inquiéta néanmoins pas plus que cela pour la simple et bonne raison qu’il avait d’autres idées en tête à ce moment, et que se faire suivre dans tout le château par Persephone n’était guère plaisant – non pas que sa compagnie fût désagréable, mais que devoir signer l’autorisation lui-même alors que Stéphane était absent ne l’enchantait pas le moins du monde.

- Non Persephone, je n’ai pas envie de m’occuper de ça maintenant ! Pouvez-vous, une bonne fois pour toutes, repousser votre invitation à une date ultérieure, par exemple… quand le professeur Fovrai sera revenu ? Ou mieux ! Dans 5 ans ! C’est bien ça, dans 5 ans… C’est un chiffre que j’appellerais rond, à la manière des nombres dits « ronds »… Ca permet de se souvenir de la date facilement… Et puis surtout, avec un peu de chance, je ne serai plus Directeur à ce moment-là ! Et remarquez, si dans le cas contraire je suis toujours à mon poste, on repoussera bien entendu l’invitation aux 5 ans suivants… Non ? Aaaaaah, c’est bien dommage… Vous êtes sûre ? Oh, attendez, j’ai une idée ! Vous avez vu ? Je ne vous entends plus ! Non non non, je n’entends plus rieeeeen !… Un bigorneau à la montaaaaagne, les deux pieds les deux mains dans la m…

Alors qu’Evans s’était amusé à se boucher les oreilles pour fuir ses responsabilités le jour où il pouvait enfin être tranquille pour la première fois depuis vingt ans, et surtout alors qu’il marchait à reculons en regardant Persephone dans les yeux avec un grand sourire, un malencontreux rat vint se placer en-dessous de sa chaussure droite, ce qui eut pour effet de le faire glisser et tomber en arrière, entraînant avec lui l’armure qui décorait le couloir.

- Merde.

Le professeur déclara alors qu’il devait aller panser ses diverses plaies, bien qu’infimes, dans son bureau et qu’il chargeait son employée de tout remettre en ordre, lui permettant se s’éclipser sans discrétion vers les étages supérieurs, ou se trouvait notamment la bibliothèque.

Evans ne resta qu’une heure dans le « lieu du culte au silence et à l’enseignement », juste le temps d’être sûr qu’il ne se ferait pas à nouveau surprendre par l’infirmière, devenue légèrement pot-de-colle puisque les « amies » en question devaient rester le soir même. Il avait décidé de se rendre à la lisière du parc afin d’admirer les étoiles tranquillement ; par conséquent, en toute logique, il passa par le hall. Il eut alors beaucoup de mal à cacher sa surprise et son agacement lorsqu’il vit la jeune Snape se diriger vers lui.

- Une odeur ? Où ça ? Ici ? Là-bas ? Non je n’avais pas remarqué, et de toute façon je m’en fiche, je ne suis pas payé pour entretenir les canalisations. Avez-vous vous-même saisi une différence entre aujourd’hui et, attention tenez-vous bien, la semaine dernière ?… Eh bien je vais vous la présenter : ce sont les vacances. Cela signifie que je suis moi-aussi en vacances, et que même si je suis ici – ce qui ne va d’ailleurs plus se reproduire si je ne peux rester tranquille deux minutes au château –, je ne travaille pas. Ni pour faire le menu du repas de Noël, ni pour empêcher les fuites d’eau, ni pour passer le balai, ni même pour signer des autorisations. Votre problème, je m’en fous royalement, et même si c’est de ma faute, vu que je n’ai rien signé, vos amies ne sont pas autorisées à dormir ici ce soir, d’accord ? Si je vois une tête inconnue, je m’en apercevrai aussitôt, et si je vois Slytherin aussi, donc : pas–de–soi–rée–py–ja–ma–cette–nuit, ok ? Et d’…

Le Directeur s’interrompit subitement en apercevant du coin de l’œil un homme avec un calepin. Il pivota alors de 45° et vit qu’il s’agissait d’Oliver Telford, un bureaucrate presqu’aussi casse-pieds qu’une Snape voulant l’autorisation de minuit. Il fit donc quelques pas vers le dernier arrivant et s’apprêtait à lui souhaiter hypocritement la bienvenue quand Telford le stoppa pour noter ses remarques dans son calepin, tout en en faisant partager l’assistance à voix haute.

- Monsieur le directeur. Je suis l’inspecteur Telford du ministère de la magie, et je traite l’éducation ! J’ai déjà des remarques à vous faire connaitre ! Accordez-moi un premier entretien tout de suite, sinon je devrai en plus noter que vous faites plus attention aux femmes qui vous entourent plutôt que l’éducation de vos élèves !

- Je sais qui vous êtes, monsieur Telford. Au cas où vous l’auriez oublié, on s’est déjà vu le jour de la bataille de Sainte-Mangouste, l’année dernière, six fois de suite la même journée l’année précédente, et encore deux fois un an après que l’école soit ouverte. Donc, monsieur Telford, je sais que vous représentez le ministère de la Magie, que je vous dois respect et déférence et que je dois me montrer coopératif, MAIS JE SUIS EN VACANCES ! C’est d’ailleurs pour cela que l’on va tout de suite se rendre dans mon bureau afin d’expédier professionnellement les procédures. Donc, mademoiselle Snape, reprit-il en reportant son regard sur la concernée, c’est non. Au fait, enchaîna-t-il aussitôt en continuant sa conversation avec Oliver, vous ai-je raconté la fois où j’ai débarrassé le ministère d’une hideuse et imposante créature ? Non ? Commençons par l’odeur de la chose, en plusieurs points similaire à celle qui embaume notre d’habitude si prestigieux hall – d’ailleurs, c’est bien la première fois que nous connaissons un problème – toutefois mineur – pareil ; nous venons à peine de commencer les recherches à ce sujet…

Une des principales qualités du professeur Dablord était de savoir s’adapter rapidement à son environnement, et c’est ce qu’il fit alors qu’ils montaient les escaliers vers le dernier étage en se montrant à la fois flatteur et autoritaire…

par **Stéphane Fovrai** Lun 11 Jan - 20:51

L'inspecteur de l'éducation Oliver Telford suivait le directeur jusqu'à son bureau ne prêtant aucune attention à celui-ci qui lui parlait en vain. Une fois dans le fameu bureau, l'homme s'assit sans attendre le directeur, et dégaina son fidele calepin et toute une pile de dossiers. L'inspecteur se mouilla avec grand soin chacun de ses doigts et commenca à prendre des feuilles de différents dossiers, pour en constituer toute une pile. Continuant à mélanger ses feuiles cornés en jettant par-terre certains dossiers déchirés, il emucta son index et le posa sur la grosse pile qui arrivait à hauteur de nez du directeur. e doigt en équilibre sur le tas de feuilles en équilibre précaire, à la droite de l'inspecteur, sur le bureau du diretceur, où il y avait la plume de celui-ci, qui en ressortirait certainement abîmé par le poid du papier.

- Là ! Voila, vous voyez cette pile ? C'est celle qui concerne tous les problemes que votre école à pû apporter au ministere, seulement au ministere, les autres dossiers sont différentes plaintes de parents, de personnels, bref sans intérêt pour le moment. J'aimerai faire un tour dans votre école pour constater par moi-même l'ampleur du désastre, ... Commençons !

Le professeur Dablord avait à peine eut le temps de prendre place qu'il dû se relever pour suivre au pas de course, le rapide petit homme qui parcourrait les couloirs en se grattant de a maniere la plus écoeurante son nez, affichant un sourrire de gamin fier des bêtises qu'il a en têtes et en penssant à la récompense qu'il toucherait si son travail etait satisfaisant. L'inspecteur avait laisser ses affaires dans le bureau du directeur, puisqu'il souhaitait y repasser pour faire une conclusion sur l'état de l'école, et qui resulter obligatoirement des amendes, voir une fermeture. L'homme au pas rapide s'arreta net devant une salle de classe vide, risquant la colision avec le directeur de l'éocle. Il entra dans la piece, et sortit son calepin, puis avec une rapiditéà la lucky luke, nota :

- Salle de classe sinistre ;
- Poussiere sur le rebord du tableau (risque d'alergie) ;
- Bureau bancale ;
- Chaise rustique (ne permet pas un confort de travail) ;
- Fenetre couverte de neige (donc classe sombre risque d'abimer les yeux)...

- Bien, continuons, ne dites rien, ou alors dites-moi seulement où je me trouve à chaque passage dans un lieu différent !

Les deux hommes passairent ainsi d'une salle de cours aux toilettes, des toilettes à la bilbiothèque, de la bibliotheque à la grande salle, pour remonter vers l'infirmerie où ils rencontrerent Persephone assise sur un lit en train de papotter avec Gabriel Disraeli. L'homme du ministere fit un tour du lieu de repos des patients, bouscula un lit où était un élève qui poussa un gémissement, mais ce n'est pas pour autant que l'inspecteur s'escusa, il venait juste vérifer si le patient n'était pas mort.

*On ne sait jamais...*

L'homme fouilla dans les placards et commenca à y foutre un bordel tel que Persephone dû se faire entendre. L'homme venait à peine de renverser une pile de pisotoire, qu'il fillait déjà vers le bureau de l'infirmiere pour y mettre le nez dans tous ses dossiers. Une fois les dossiers bien vérifiés et totalement mélangés, l'homme alla voir d'un pas bondissant, du côté de la pharmacie pour vérifier les dates de péremptions des potions. Malhereusement pour lui, toutes étaient bonnes de plusieurs semaines. Déçu, il en brisa une par malveillance (du moins c'est ce qu'il dit) et repartit aupres du directeur qui était fatigué de voir un tel personnage qui sautait d'un bout à l'autre de la piece. Persephone nettoyait déjà le résidu qui s'écoulait sur le sol.

- Eh bien, on ne peut pas dire que ca soit vraiment rangé ! Comment faites vous pour soigner convenablement les élèves mademoiselle ?

Sans attendre réponse, l'homme se rua hors de l'infirmerie et en claqua la porte au nez du directeur qui tentait de le suivre. Quand Evans ourit la porte, il pû apercevoir que l'homme finissait une enieme phrase sur son calepin et le rangea déjà, loin des regards indiscret du contrôlé. Refermant la porte, on pouvait entendre la voix de l'infirmiere voxiférer, alors que son amie tentait de la calmer un minimum. Les deux hommes repartirent donc dans un dédale de couloir, où l'inspecteur fouillait toutes les salles sans suivre une logique précise. Ils finirent par arriver devant un groupe d'élèves, c'était encore Noémie, Julius et Owen. Mais ceux-ci étaient suivi aussi de Mana qui couverte de terre les suivaient de loin, un étrange collier au cou, qu'elle ne portait jamais et aviat été trouvé dans le parc ce soir même.

- Bien profsseur, je vous laisse corriger votre infirmiere, je vais voir si vos élèves sont conscient des risques qu'ils encourent dans votre école ! Allez ! Zouh ! Vas-y, zouh ! Va là-bas ! Voila Bye bye !

Le professeur de quidditch n'eut autre choix que de quitter celui qui sonnera la fin de l'école qui pourtant, apres plusieurs aventures bien plus calamiteuses, tenait encore debout. Pendant ce temps, l'inspecteur vogua vers les enfants, et demanda même à Mana de s'approcher, mais celle-ci trop sauvage alla s'enfuir plus loin. Il se contenta juste de la présence des trois élèves qui lui sourriaient. L'inspecteur sortit de sa poche son calepin fétiche et griffona à la va-vite un tableau.

- Tres bien, vous allez tous me dire ce que vous penssez de l'école ! N'ayez pas peur, vous ne courrez aucun risque, le minnistere pourra même vous accorder des petits "crédits" si vous dites le plus de vérité possible ! Soyez honnetes, plus vous me direz de chose qui m'intéresse, plus vos parents seront fiers de vous !

Chacun des élèves fit une brève critique de l'école, l'inspecteur ne nota que par intermitence. Enfin vint le tour d'Owen qui, jusqu'à ce qu'il ouvre la bouche, un terrible hurelement se fit entendre provenant des cachots. Ce cri était tellement puissant que Telford décida de mettre les enfants entre lui et la direction des cachots. L'inspecteur se demanda si la torture avait encore lieu dans l'école, mais apres la réponse des élèves il eut une double déception : il ne pourra pas le dire dans ses notes, et cela signifiait aussi qu'il y avait quelque chose au sous-sol de pas trés rassurrant.

- Ah, ... ah ah ... c'etait peut-être un cri d'élève qui a perdu à cache-cache, hein les enfants ? Bref, et si nous allions un peu plus loin, euh... là-bas, vous allez me dire ce que vous aimez dans cet endroit, voir si vous vous plaisez partout ou si par-ici par exemple, vous vous sentez mal à l'aise !

C'est alors que l'inspecteur présenta aux enfants la salle de retenue et attendit que chacuns d'eux critiques ce lieux, il pris encore une fois des notes quand il jugea intéressant de le faire, mais toujours en jettant des regards inquiet et curieux vers l'escalier donnant aux étages inférieurs.

Durant le temps qu'il avait fallu au professeur Dablord et à l'inspecteur de l'éducation, de se diriger dans le bureau du directeur en début de soirée, Azuki quittait ses amies à l'infirmerie préférant les laisser parler un peu seules le temps qu'elle aille chercher quelque chose à grignoter. L'ancienne élève de serpentard pris la direction des cuisines, en faisant appel à ses souvenirs pas si vieux que cela et arriva enfi dans les cachots devant la salle aux milles et unes gourmandises. Elle entra donc et se servie comme personne ne pouvait le faire. Une fois ses amplettes en toutes gratuités exercés, Azuki quitta la salle. Elle ne pût retenir un écoeurement tant l'odeur des cachots avait une pestilance aussi forte. Rien de plus gloc pouvait produire une telle odeur. Celle-ci s'intensifiait de plus en plus. Azuki resta quelques temps surplasse pour se boucher le nez tout en gardant en équilibre ses trouvailles cullinaires. Ramassant un des mets qui avait glissé de sa pile de nourriture, elle se redressa pour faire face à un jeune homme au regard vide, et à la peau plus que pâle, il ne sentait pas bon d'ailleurs.

La serpentard allait lui demander qu'est-ce qu'il voulait, quand celui-ci s'emparra d'elle par le cou et commencait déjà à l'étrangler. Azuki commencait à suffoquer quand elle trouva la solution pour s'esquiver à cette personne un peu trop entreprennante à en mourrir. Elle arriva enfin à le faire lacher prise, mais celui-ci ne ressentant aucune douleur ni gêne, retenta de s'emparer de la femme, un filet de bave lui dégoulinant de sa bouche, qui zig-zagait sur quelques pustules virulentes. Azuki fuya la scene en hurlant de tout ses poumons, si fort que toute l'école l'etendit, et en laissa tomber toutes ses conquetes quand elle vit que l'homme blême était accompagné de deux autres personnes à l'aspect cadavérique. En observant leur démarche, Azuki fuya en comprennant que les personnes qui la suivaient n'étaient autres que des Inferis.

par **Lou Delpierre** Lun 11 Jan - 22:43

[arrive plus à supprimer]

[Stéphane => Je supprime Evans ? Ou tu veux mettre ça aussi dans une corbeille ^^]

[Evans >> J'ai laissé, moi, pour montrer qu'elle avait posté avant 'zuki ^^
Dès que t'as lu ça contente-toi de mettre la police en noir, ça dissimulera le texte ^^]

par **azuki slytherin** Mar 12 Jan - 22:03

Azuki se balladait joyeusement dans les couloirs du château. Il y avait beaucoup de pièces et de mystères à découvrir dans un château comme Veranda mais il y avait une pièce pour laquelle, elle ne remercierait jamais assez le Seigneur tout puissant de lui avoir fait découvrir. La Cuisine ! C'est un lieu où elle allait très souvent étant étudiante et c'est peut être pour ça que même maintenant, après plusieurs années d'absence, elle pouvait encore en trouver le chemin les yeux fermés.

Il n'y avait jamais personne là-bas. Pas de gens, pas de questions. Et ça, elle en avait eu plus que besoin à cette époque. Bon, il fallait bien avouer aussi que leur succulente tarte au citron et leur renversant flan à la noix de coco y était pour beaucoup aussi. Il y avait des choses pour lesquelles les elfes étaient vraiment utiles, très utiles même. C'est donc à moitité dans le cirage, entourée de réminéscence d'avalanche de sucre qu'elle se dirigeait vers l'instrument de sa survie.

Azuki se rendit compte qu'elle était enfin arrivée à destination lorsqu'elle embrassa fougueusement le tableau qui gardait l'entrée de cette caverne d'ali baba du glucose. Elle se frotta le front à l'endroit de l'impact en grommellant. Elle n'était pas une sorcière si nulle que ça. Elle était même plutôt douée dans certains domaines, domaines qui bizarrement n'étaient pas enseignés à l'école. Cependant, elle avait la poisse avec le mobilier. Il ne se passait pas un jour sans qu'elle ne se mange en pleine poire une porte, un mur ou encore un TABLEAU!! Continuant à se frotter son front rougit, elle pénétra dans le Saint des Saints.

*Foutu tableau de m....! Bordel!*

Azuki fit tranquillement son petit marché. Le Directeur n'avait pas voulu signer le petit papier de rien du tout qui lui aurait permit ainsi qu'à Gaby de rester dormir ici. Alors elle ne dormirait pas au château. Elle resterait jusqu'à pas d'heure mais éveillée! Et pour rester éveillée, il fallait des provisions. Alors à elle, les jolies tartelettes au citron, les fondantes profiteroles au coulis de chocolat et autres douceurs en tout genre accompagné de chantilly, crème anglaise et tout autre liquide sucré. Bon, elle partagerait avec Gaby et Pers'. Un peu. Il ne fallait tout de même pas croire au Papy Joël!

C'est les bras débordant de mets en tout genre qu'elle quitta la cuisine. Et bien, elle aurait mieux fait d'y rester. Malgré la délicate odeur de sucre qui se dégageait de son fardeau, elle ne pouvait s'empêcher de plisser son petit nez sous les effluves nauséabondes qui se répandaient dans les cachots. Ils décoraient les murs à coups de boyaux putréfiés ou quoi?! C'était insoutenable, elle plaqua sa main sur son nez pour empêcher ne serait-ce qu'un peu l'odeur de lui parvenir. Elle releva les yeux et se retrouva en face d'un jeune homme, qui apparemment était resté trop longtemps dans les cachots, vu l'odeur qu'il dégageait.

*Mais qu'est ce qu'il me veut ce...*

Ses pensées se coupèrent nettes. L'émigré des poubelles, qui se trouvait tranquillement en train de la fixer de ses yeux vides il y a peu, venait de la saisir à la gorge, serrant ses deux mains autour du coup frêle de la jeune femme. Elle se débattit un instant avant de s'avouer vaincue. Dans un soupir étranglé, elle laissa tomber au sol une partie de ses précieuses victuailles et sortit de sa manche gauche sa baguette. Elle éjecta contre le mur le plus proche la saloperie qui essayait de la faire passer ad patres; ce qui était hors de question, son paternel ne lui manquait pas du tout!

Ce truc s'était pris un mur de plein fouet deux mètres plus loin mais il avait autant réagit que si on lui avait dit qu'une guiness était brune. Tudieu, en quoi était cette chose! C'est là que la chose se mit de nouveau dans la tête de l'envoyer bouffer les pissenllits par la racine. Il en salivait même. Salivait?

- Oh BORDEL DE MERDEUHH!!

Son cri avait du retentir jusque dans la plus haute tour du château mais elle s'en tamponnait. Son visage purrulant, sa démarche. Inferius, c'était un Inferius ! A Veranda! Elle était abasourdi et en lâcha le peu de douceurs qui restait au creux de son bras gauche. Par les caleçons de Merlin. Deux autres silhouettes apparaissait derrière la première et elles étaient tout aussi blêmes que la première. Elle avait trois Inferi en face d'elle. La jeune femme ne chercha pas midi à quatorze heures, fit un demi-tour rapide sur un pied, chose qu'elle n'aurait pas réussit sans s'étaler en temps normal, comme quoi l'adrénaline ça marche, et partit en courant. Elle devait s'éloigner. S'éloigner le plus possible de ces immondices !

par Julius Horg Mer 13 Jan - 12:35

Julius pensait avoir tout rencontré en terme de personnes bizarres mais en cet instant ce jeune poufsouffle qui les regardait lui et Noémie à travers des baveboules dépassaient, et de loin, tout ceux qu'il avait pu rencontrer jusqu'ici (et peut être même dut il l'admettre Delpierre pête sec et ses lubies bizarres). Il regardait son interlocuteur d'un air des plus perplexes.

Ne se rendait il pas compte que ce type là dehors risquait très bien de vouloir fermer l'école. C'était une idée des plus horribles pour le jeune serdaigle. Fermer l'école qu'il considérait comme son second chez lui! Sans compter que ça impliquait de rentrer chez sa mère et son caractère... ahem... disons des plus angoissés et agaçant. C'était inenvisageable. Autant dire faire une croix sur la magie qu'elle ne supportait que très difficilement et sur sa passion nouvelle: le quidditch.

Il poussa un profond soupir.

-
Bon si on le recroise faut faire bonne impression, respecter à tout prix tous les réglements. ça ne devrait pas être trop difficile, vous avez bien lu l'intégralité des articles du réglement comme on nous l'avait indiqué, non?

Noémie était préfette en chef, nul doute qu'elle se devait de bien connaître le réglement. Peut
être même comme lui l'avait elle appris par coeur pour remplir au mieux ses devoirs de préféte. enfin peut être pas à ce point à la réflexion. Il jeta un regard de haut en bas vers Owen et dut admettre que lui ne connaissait peut être que les règles des baveboules par coeur ce qui lui arracha un nouveau soupir las.

Ils avancèrent tous trois à travers les couloirs en continuant leur conversation. Quelle conversation? Ne le demandez pas à Julius qui resta tout ce temps un peu perdu dans ses pensées en ne lâchant de temps à autre qu'un "mmmm" "oui", "tout à fait". Il eut vaguement l'impression qu'Owen continuait ses histoires de baveboules mais ne saurait vous dire qi c'était là
l'unique sujet de conversation du moment.

Quelques temps plus tard ils retombèrent avec l'inspecteur qui était en grande conversation
avec le directeur. Un regard à gauche à droite.... manifestement aucune intersection ne leur permettrait de quitter ce couloir au plus grand regret de Julius. Le directeur partit et voilà que l'inspecteur venait à leur rencontre.

- Tres bien, vous allez tous me dire ce que vous penssez de l'école ! N'ayez pas peur, vous ne courrez aucun risque, le minnistere pourra même vous accorder des petits "crédits" si vous dites le plus de vérité possible ! Soyez honnetes, plus vous me direz de chose qui m'intéresse, plus vos parents seront fiers de vous !

Quoi? Il espérait leur enttendre dire du mal de cette écolé, de sa deuxième maison! Qu'il ne compte pas sur le jeune serdaigle là dessus car lui défendrait becs et ongles son école avec sa bibliothèque rempli de tant de choses intéressante, ses entraînements de quidditch et les quelques amis qu'il était enfin arrivé à se faire.

Il ne laissa d'ailleurs pas le temps aux deux autres de prendre la parole et s'élança le premier dans un vrai éloge de l'endroit, espérant qu'ainsi Owen et Noémie suivent son exemple.

-
Personellement Monsieur l'inspecteur j'aime particulièrement cette école. je n'ai jamais appris tant de choses intéressantes que depuis que je suis ici. Les cours sont dans l'ensemble très intéressant et nous avons une bibliothèque particulièrement fournie qui permet de travailler dans les meilleurs conditions.

L'inspecteur ne semblait pas du tout ravi de cette prise de position, aussi Julius dans un souci de plus grande crédibilité se hâta de nuancer ses propos.

-Oh bien sûr comme partout il y a parfois de légers problèmes mais les professeurs font au mieux pour tout régler dans les meilleurs conditions. et Noémie et moi même en tant que préfets nous efforçons de faire au mieux respecter tous les réglements. hein Noémie?

Ses deux compères donnèrent à leur tour leur avis sur l'école. L'inspecteur allait reprendre la parole quand un cri glaçant se fit entendre. Julius, qui n'était pas surnommé Juju la frousse pour rien, sursauta et sentit des frissons parcourir tout son corps. Tout ça s'annonçait très mal... vraiment très mal... et à n'en point douter une nouvelle catastrophe pointait le bout de son nez.

- Ah, ... ah ah ... c'etait peut-être un cri d'élève qui a perdu à cache-cache, hein les enfants ? Bref, et si nous allions un peu plus loin, euh... là-bas, vous allez me dire ce que
vous aimez dans cet endroit, voir si vous vous plaisez partout ou si par-ici par exemple, vous vous sentez mal à l'aise !

Il leur montra la salle de retenue. A vrai dire julius n'y était venu qu'une seule fois en première année. lorsqu'après avoir été dans la forêt interdite il s'était fait punir. tout ça à cause de sa mère encore et toujours mais cela est une autre histoire.

-
Euh... eh bien c'est une salle de retenue... sauf votre respect msieur le but est pas de s'y sentir à l'aise puisque par définition si on vient là c'est qu'on a été puni et euh... sinon c'est une salle de cours... qui ressemble aux autres salles de cours et...

Pffff il en avait de ces questions celui-là. Heureusement Owen poursuivit à son tour au grand soulagement de Julius.

par Mana Maldorane Mer 13 Jan - 22:01

Mana était assez contente car elle avait trouvé le collier qu'elle cherchait elle n'y avait pas vraiment cru à la base quand elle avait entendu dire, qu'un collier qui visiblement possédait des pouvoirs magiques se trouvait dans le parc de l'école. Elle écouta précisemment où le bijou se trouvait, apparement la personne qui racontait cela l'avait enterré rapidement le bijou, pas loin du portail, elle repartit alors sans se faire remarquer des deux élèves qui parlaient. Elle n'irait pas le cherché se soir car se soir la il devait être à peux près minuit et bien que sa ne la dérangeait pas de sortir en pleine nuit cherché après un endroit et creusé en plus pour déterré se collier. Non elle agirait le lendemain à l'aube du moins l'avait elle crut mais se soir la il avait neigé bouleversant ses plans. Si elle sortait avec le sol couvert de neige on saurait tous de suite que quelqu'un avait quitté le château le matin même voir même on pourrait la surprendre entrain de creusé se qu'elle ne souhaitait pas. Elle reporta donc son plan au soir quand plusieurs personnes aurait marché dans la neige rendant une filature plus compliqué.

Le soir fut assez lent à venir et juste avant de mangé elle perdit patience et sorti sur un coup de tête du château bien décidé à allé vérifié si se collier était encore la ou les renseignements de la personne qui l'avait trouvé, le prétendait se qui serrait étonnant que cette personne ne l'ait pas prise pour elle. Mana fit attention à ne croisé personne à l'allée mais dès qu'elle trouvât l'endroit indiqué, elle ne fit plus attention à rien et commença à creusé. Enfin elle ne fit attention à rien jusqu'à se qu'elle voit un drôle d'homme mais celui çi ne semblât pas s'intéresse à elle se qui l'arrangeait plutôt mais cette homme ne lui inspirait pas confiance elle ferrait donc en sorte de se renseigné sur lui afin de découvrir se que se drôle de sir faisait à l'école mais pour le moment le plus important était se collier dont elle ne pouvait plus nié qu'il se trouvait bien dans le parc du château vu qu'elle venait à l'instant même d'en déterré un morceau. Elle acheva de le déterré puis une fois déterré elle le mit immédiatement à son cou et à l'instant même elle se senti plus forte mais cette effet n'était peut être que psychologique. Elle s'arrêta quelques minutes regardant le trou qu'elle avait fait puis le rebouche d'un coup de baguette. S'était quand même plus pratique que pour le déterré se qu'elle avait fait à main nue de peur que la magie n'altère l'objet. Elle était dégoutante maintenant il fallait qu'elle se lave elle qui détestait être sale. Elle retournât donc vers le château. En entrant elle vit du coin de l'oeil le mystérieux homme disparaitre suivit du directeur sa devait être un homme important mais qui était il donc? Il fallait qu'elle le sache et comme tous se qu'elle voulait savoir elle le saurait. Elle suivait de loin un groupe d'élève mais ne s'intéressait pas à se qu'il racontait bien trop occupé à réfléchir au différent hypothèse sur l'identité de l'homme. *Il pourrait faire une victime intéressante* au moment ou cette pensées lui traversa l'esprit elle le vit justement et il l'invitait à s'approche comme si elle allait s'approche de se mystérieux inconnu en qui sont sixième sens lui disait de ne pas avoir confiance. elle parti donc dans l'autre sens cette fois elle se rendrait à sa salle commune pour allé se lavé et alors qu'elle était justement entrain de se lavé elle entendit un cris il venait des cachots s'était sur mais qu'est que sa pouvait être quelqu'un avait il commis un meurtre à l'instant? Etais se se type mystérieux qui avait fait poussé se cri? Elle aurait volontiers été voir mais Elle préférait être prudente puis elle était entrain de se lavé elle n'était donc pas habillé et sortir nue n'était pas une bonne idée. Elle s'habilla en quatrième vitesse mais ne sorti pas préférant laissé passé un petit labs de temps entre se cris et le moment ou elle déboulerais dans le couloir car si jamais il y avait eu meurtre pour une fois que se n'étais pas elle qui l'avait commis il était hors de question qu'elle porte le chapeau.

par Owen MacKenzie Dim 17 Jan - 20:25

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Bon si on le recroise faut faire bonne impression, respecter à tout prix tous les réglements. ça ne devrait pas être trop difficile, vous avez bien lu l'intégralité des articles du réglement comme on nous l'avait indiqué, non?

Julius disait cela en insistant du regard comme s'il interrogeait ses camarades, s'ils étaient au courrant du réglement. Owen ne souhaitait pas répondre. Biensur qu'il savait qu'il y avait un reglement ! Ce qu'il ne savait pas, c'était de quoi il parlait...
Owen resta avec ses nouveaux amis, se faisant plus pot-de-colle que jamais. Le groupe d'amis tranait dans le couloir, Julius était silencieux, c'est donc pour pouvoir plus sympathiser qu'Owen prit parole.

- Vous connaissez les baveboules tout de meme ? Et sivous etes des enfants de moldu, vous devrez aussi connaitre les billes ? Et bien c'est la même chose, sauf que les baveboules ont plus des particuliarités, et ses techniques sont innombrables !

Owen continuait son monologue, durant lequel Noémie tenta de suivre en lui répondat, mais cele-ci ne devait pas bien connaitre ce sport. Owen palabra pendant une bonne dizaine de minutes, qand il eut l'idée du siecle.

- Et ca vous tenterez de monter un club avec moi ?

- Mmmm ? Oui, oui ...

- Chouette, je savais que tu n'etait pas idiot Jlius, ca se voit dans on regard combien tu aime les baveboules, je l'ai sut dés que je t'ai vu, nous sommes des sortes d'élus, on peut savoir qui fait partit dugroupe des baveboules ! Je t'inviterai à une partie en 1 contre 5 avec obstacles et sort de déviassion ! Tu vera ce sera cool !

- Tout a fait ...

Julius parlait dans le vide, mais Owen n'en retint que son accord pour une partie qui sera endablée ! Owen allait se relancer dans une enieme éloge de la baveboule, quand il fut repéré avec ses deux amis par l'inspecteur bizar. Celuici vint à leur rencontre et leur demanda de citer les points faibles de l'école. Owen allait répondre de suite qu'il n'y avait pas de club de baveboule, ni de matiere pour apprendre à y jouer, mais il fut coupé par Julius qui commençait à faire un discours remplie d'émotions sur l'école.

*Je me demande en fait si Juiu n'est pas un peu ... bizar ?*

Ensuite ce fut Noémie qui parla. Là encore personne ne fit attention qu'il n'y avait aucun dispositif pour jouer aux baveboules, mais la gryffondor semblait vouloir donner unebonne image de l'école. Enfin le tour d'Owen arriva, et celui-ci s'appreta à lister tous les défauts de l'école, quand un cri des plus lugubres et inquietant se fit entendre depuis les étages inférieurs. Owen sursauta et empoigna Julius par le bras en le serrant pour etre sur que si le monstre qui hurlait de la sorte venait le prendre, qu'au moins son ami des baveboules vienne avec lui.

L'inspecteur trouva une escuse à ce cri terrifiant, ce qui rassura Owen qui le cru assez facilement. Owen savait que l'école etait remplie d'élève, c'etait donc normal qu'ils poussent des cris à un moment ou un autre s'ils perdent une partie de baveboule. C'est donc rassuré qu'l suivit l'inspecteur qui voulait son avi sur une salle de retenue. Julius expliqua son point de vue, mais cela ne correspondait pas à ceux d'Owen qui en avait des choses à raconter !

- Ah moi maintenant ! dit-il coupant la parole à Noémie qui commencait à ouvrr la bouche. Cette salle est épouventable ! On raconte que des enfants étaient torturés ici, j'en fais même des cuchemars, surtout qu'on mit à enfermer apres que j'ai gagné une partie contre des serpentards de 6e année, ils avaient volés toutes mes baveboules sauf la petite bleu, ils disaient que celle-là était la plus moche et qu'elle me ressemblait, mais c'est faux, elle n'est pas moce, mais apres j'ai pu tout regagner, mais cette salle je l'aime pas, elle est trop sombre, et il y a trop d'élève qui y vont pour travailler, j'aime vraiment pas cette salle, elle me fait peur...

Owen vit l'inspcteur notait en usant de l'encre à provision, apprement, Owen avait ue histoire tres passionnante pour que déjà un employé du ministere prenne en compte ses mémoires. Owen etait ravi que quelqu'un s'interesse à lui et ses baveboules, au point d'avoir les yeux gonfflés d'excitation en prennant des nots sur sa vie en tant que joueur de baveboule.

*Je vais etre célèbre !*

par **Stéphane Fovrai** Lun 25 Jan - 18:55

Les rangs des Inferus ne faisaient que croitre. Azuki arriva tant bien que mal à s'échapper des ongles pourris de ces zombies. Remontant aussi vite que lui etait possible, elle tomba sur le directeur qui venait de se faire ballader par l'envoyé du ministere. La collision eut lieu entre ces deux entités différentes.

Reprennant leurs esprits la fille tenta de se faire comprendre de celui qui fut son directeur, en vain. La prennant pour folle, le directeur se depetra de l'incongrue, pour retrouner à ses affaires. Ne voyant pas d'autres moyens de le convaincre, Azuki s'en alla quérir l'aide de ses amies stationnés à l'infirmerie. Le directeur la suiva des yeux, mais décida tout de même d'aller controler l'infrmerie, apres le bazar qu'avait provoqué l'inspecteur. Il suivit les pas de la folle, pour enfin entrer dans la salle medicinale, où une Azuki histerique (plus que d'habitude en tout cas) ne se faisait pas comprendre des soeurs, dont leurs estomac grondaient l'absence d'aliments.

Le groupe d'adultes commencerent à se chamailler, quand l'odeur fut insoutenable. Azuki justifiait cela par l'arrivé de ses imagiaires zombies. Souhaitant savoir et regler ce probleme, le directeur sortit de l'infirmerie en poussant la porte -,alors que la fille hurlait au danger,- pour faire face au groupe de décomposés à la forte odeur de putréfation. Ceux-ci tenterent d'entrer, mais le directeur parvint à en bloquer l'entrée habilement. En claquant la porte, un doigt d'inferi tomba au sol.

Le groupe était bloquée au premier etage dans une salle close sans autres portes, ni possibilités de transplanner. Les fenetres ne donnerent que sur le vide, mais etaient escaladable pour atteindre l'etage du dessus si les choses se compliquaient. Le groupe des trois ex-eleves et le directeur mirent en place leurs défenses en se barricadant. Des élèves occupant les lits hurlerent pendant qu'ils etaient trainés contre la fenetre. C'est pour le coup que l'infirmerie etait dans un mauvais etat...

Les Inferis parvinrent à enfoncer la porte, les refugiés ne purentque constater leur horreur et jettait des sorts aux effets peu efficaces contre les esprits troublées, mais devastateur contre le mobilier et les murs de l'ecole. Deja de blocs etaient dégagé et des trous se formaient, les Inferus profitant de la perméabilit de la salle pour s'y engouffrer de plus en plus nombreux, mais avec de moins en moins de membres.

Pendant cette lutte, le groupe de jeunes élèves et l'inspecteur gagnerent la bilbiotheque. Voulant controler les moyens mis à la dispositions des élèves, l'inspecteur Telford faillit avoir une crise en tombant sur le fantome d'un élève. Celui-ci gérant la bibliotheque, reclammait le silence. Cette apparition eut pour effet, que l'inspecteur sortit son calepin pour ajouter que des démons hantaient l'etablissement, et qui pouvaient effrayer voir pire certaines personnes de l'école.
Ne souhaitant pas rester plus longtemps en la compagnie fantomatique, Oliver repartit à reculon vers la sortie. 'est en ouvrant la porte qu'il s'apercut qu'il y avait pas mal de passage à cette heure dans les couloirs, mais peu du monde qu'l voyait n'avait l'âge d'être élève.

Les inferis passerent ans le couloir, tous bavant plus les uns que les autres, cherchant une âme qui vive pour s'en satifsfaire. Telford ne comprennant pas le danger qui les menacaient, avanca pour prendre en sondage un Inferi au regard perdu :

- Bonjour monsieu... oui, vous êtes bien un homme de toute évidence. J'ai quelques questions à poser, vous sentez à l'aise dans cette école, pensez vous que les élèves risque d'etre danger à tout moment de la journée, et aussi pourriez vous me faire part de votre impression sur... ET ! NE ME TOUCHZ PAS ! LÂCHEZ-MOI OU JE HURLE !!!

L'inspecteur venait de se faire enlasser par son enquêté, qui était plus intéréssé par la cervelle de l'inspecteur plutot que de ses questions. Voyant le danger grandissant, le grope des trois eleves lancerent nombreux sortileges pour repousser l'inferi qui tirait sur les cheveux de l'homme. Le prédateur lacha sa proie qui courra comme un lapin se refugier derriere le fantome de la bibliotheque. Les trois amis parvinrent à fermer la porte et la bloquer avec une etagere habilement déplacé. Mais d'un coup dans la porte un des monstres d'au de-hores parvint à faire un trou et commencait a l'agrandir pour pouvoir passer. C'est en union qe l'ancienne eleve de l'ASNO, le rescapé de Ste-Mangouste et le champion de baveboule toutes catégories lancerent des sorts et du mobilier.

Owen parvint à provoquer plusieurs catastrophes en fisurant un des murs porteurs qui donnait sur le couloir, aussitot parsemmés de bras d'inerus qui tenterent d'agradir la faille. Le fantome quant a lui egardait ce spectacle sans grande joie, preferant ramasser de ci de là des bouquins tombés pour les réparer, avant de le ranger sur une étagere qui aussitot etait prise comme munition par les jeunes guerriers. L'inspecteur prefera se refugier derriere son calepin en gribouillant ce tout à quoi il assistait.

Ainsi, c'est dans tout le chateau que regnai le chaos. L'infirmerie tombait en morceaux, la bibliotheque etait de plus en plus sacagée. La folie guerriere de chacun des sorciers etait telle qui ne se rendait pas compte de l'etat dans lequel ls mettaient le chateau, tant leurs survies dépendaient de leur vlonté à tout detruire. Seule Mana Malorane n'etait pas encore au courrant avec tous les autres eleves dans leurs dortoirs ne sachant pas ce qui se passait dans les couloirs. Mana parvint à trouver enfin la salle qu'elle convoitait depuis tantde temps, la salle sur demande. Elle parvint à y entrer et constater que celle-ci lui obéissait. Utilisant tout ce qu'elle trouvait dans cette piece, elle en sortit pour espionner des gryffondors et les suivre dans leurs dortoirs dans le but de sacager certaines affaires personneles et s'emparer d'objet dans un but de vengeance contre les rouges et ors.

Le chateau se mit à trembler apres une forte détonnaton qu'eut lieu dans l'infirmerie. Tous les gryffondors releverent la tete, et Mana se fit repérern c'est alors qu'elle eut l'idée de faire croire à tout le monde qu'une attaque avait eut lieu sur lécole et que tous devaient fuir ! Fine démarche pour ele qui finit par se retrouver seule dans cette salle, alors que tous les jeunes sorciers fuyerent ou plutot partient tous baguette en main, pour soutenir les attaqués sans vraiment savoir ce qui se passait quelques etages plus bas.

par **azuki slytherin** Mar 26 Jan - 21:57

Azuki courrait à en perdre haleine. Elle manquait de tomber à chaque pas, ces chaussures glissant sur le dallage humide des cachots. Pourtant, elle ne lâchait pas prise. Elle devait à tout pris s’éloigner, d’aussi prêt même avec une baguette entre les mains, elle n’avait strictement aucune chance de vaincre les marionnettes putréfiées qui la poursuivaient. Une seule solution lui apparaissait : trouver de l’aide et vite !

Elle passa, dans un dérapage magnifiquement contrôlé, la porte qui menait des cachots au hall d’entrée et alla atterrir sans aucune grâce dans les bras d’un illustre inconnu. Essoufflée, elle releva le visage vers son amortisseur et tomba nez à nez avec le Directeur. Par les poils de cul de Morgane, c’était bien la première fois qu’elle était contente de finir dans les bras du Directeur alors qu’elle courait dans les couloirs de l’école. Elle l’avait son petit coup de pouce ou de baguette dans ce cas précis.

-Monsieur le Directeur ! La vachounette, ce que ça fait plaisir de vous voir !

Elle le sera un peu plus fort entre ses bras puis se reprit et se décolla un peu de l’homme pour mieux l’attraper par le col de sa chemise :

- On a un problème, les morts reviennent se venger ! La porte de la neuvième strate des Enfers s’est ouverte ! C’est l’Apolakypse !!! Les suppôts de Satan arrivent… et en plus ils sont moches ! Franchement, Lulu baisse dans les critères de recrutement. Ils sèment des morceaux sur leur passage, si ça se trouve, ils vont se multiplier et la terre ne sera plus qu’un marais putride et stérile !

La jeune femme, pour la peine complètement hystérique, enfin plus que d’habitude s’entend dire, avait débité sa tirade d’une seule traite en secouant comme un prunier le pauvre homme entre ses mains. Cependant, elle ne savait pas pourquoi mais celui-ci lui adressa un regard torve et las. Il soupira et tenta de lui faire lâcher prise. La jeune femme ne se laissa pas faire et était bien prête à lui exposer tous les faits sur l’invasion des créatures nauséabondes, mais ce dernier finit par se libérer de sa poigne et à s’écarter d’elle pour retourner vaquer à ses occupations.

Azuki rumina un très explicite « Shitttttttteuuuuuuuuuuh » et mis en route les rouages de son cerveau shooté à l’adrénaline. De l’aide… De l’aide… Elle se frappa le front du plat de la main et courut en direction de l’infirmerie. Quoi de mieux que le trio infernal de Serpentard pour explosé du zombi ?! Bref, étant donné qu’elle était seule, enfin aux dernières nouvelles, elle devait trouver les deux autres. Elle s’engouffra avec la discrétion d’un hypogriffe agacé dans l’infirmerie et refit le discours de la fin du monde englouti par de la mélasse putride à ces deux amies.

Elle ne reçut pour réponse que des « Arrêtes de te foutre de nous ! » ou des « Franchement, ‘Zuki avoue que t’as mangé toutes les pâtisseries au lieu de raconter des conneries » et bien d’autres choses encore que la politesse légendaire de la jeune femme taira. D’ailleurs, ladite jeune femme commençait à en avoir plus que ras la cafetière entre le Directeur qui venait de se faufiler dans l’infirmerie mais qui ne la croyait pas pour autant et les deux membres honoraires des siphonnés du bocal.

-Mais Gaby, puisque je te dis qu’il faut appeler la Team Winchester ou Léon. Y a des saloperies qui veulent nous « arrarlaloyer » !!!

En parlant d’arrarlalo, ça sentait pas la rose d’un coup. Azuki se retourna et refit parler les décibels en voyant les Inferius sur le pas de l’infirmerie. Heureusement, le Directeur Dablord réagit au quart de tour et claqua la porte laissant tomber au sol un doigt dont la date de fraîcheur était passée depuis longtemps.

*Bieurk, ils sont vendus en kit maintenant*

La pas si cinglée que ça se reprit et aida les autres adultes présents à barricader l’infirmerie. Enfin barricader, pour ce que ça tenait, les Inferius se faisaient de plus en plus nombreux malgré les sorts qui fusaient ; sorts pas très réglementaires d’ailleurs de la part des trois Serpentards. Mais pour le moment, elles s’en foutaient mais alors royalement. Des morceaux d’Inferius tombaient de ci de là et des couleurs diverses parcouraient l’infirmerie.

* Ouh, la belle bleu ! Et merdum, encore un trou dans le mur ! *

Un cri surpassa le brouhahaha de la bataille pour confirmer aux combattants de la ligue de l’infirmerie que ces « saloperies qui voulaient pas crever » élargissaient leur horizon pour le diner. Sans se concerter, les quatre adultes lancèrent un sort sur le même Inferi. Les sorts s’entrechoquèrent et grand « BLAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMM » résonna dans le château. Si là, on ne les avait pas entendu jusqu’à la tour d’astronomie, il y a avait un problème. De la poussière de feu le mur en face d’elle emplissait la pièce et Azuki ne distinguait plus grand-chose autour d’elle ; à part Gaby à sa droite et Pers’ à sa gauche, toutes deux baguettes tendues, prêtes à riposter au moindre mouvement dans l’océan de poussière.

par **Evans Dablord** Mer 27 Jan - 19:22

L'histoire du « monstre du Loch ministère » ne fut pas un grand succès, bien que brillamment racontée et avec passion. Evans comprit d'ailleurs qu'il ne pouvait pas s'opposer indéfiniment à la volonté de Telford lorsqu'il s'aperçut que celui-ci prenait ses aises rapidement et sans aucun problème, quelle que soit la pièce où ils se trouvaient. Le bureaucrate n'avait pas intérêt à gâcher les vacances du professeur, sinon son calepin à la noix serait sans aucun doute rempli... de bouse de vache, la même qui figurerait sur les joues et dans le nez de son possesseur.

Dans le bureau du Directeur – non pas ovale mais ovale AVEC des angles droits –, le professeur Dablord,qui n'avait d'habitude pas besoin de hausser le ton pour se faire entendre ne put pas en placer une, Oliver le coupant à chaque fois qu'il le croyait opportun – ou qu'il voulait prouver son hypothétique autorité. C'était sûrement l'habitude d'être écouté, car Evans fut tellement surpris qu'il resta sans rien dire le temps que son bureau en chêne – en frêne ou en sapin, peu importe ; cela changeait tous les jours – fût enseveli de dossiers et divers documents créés au fur et à mesure que l'école avait vieilli, et ce depuis sa rénovation. Les yeux du si respecté et si craint auror devinrent tout ronds lorsque ce dernier se rappela que sa magnifique et fétiche plume figurait en-dessous du building de merdier créé de toutes pièces par l'invité du soir.

- Là ! Voila, vous voyez cette pile ?

- Ben si ce n'était pas le cas je m'inquiéterais...

- C'est celle qui concerne tous les problèmes que votre école a pu apporter au ministère, seulement au ministère, les autres dossiers sont différentes plaintes de parents, de personnels, bref sans intérêt pour le moment. J'aimerais faire un tour dans votre école pour constater par moi-même l'ampleur du désastre... Commençons !

- S'il vous plait... Commençons, S'IL VOUS PLAIT !

Alors qu'Evans venait de s'asseoir dans son sublime fauteuil depuis tout juste vingt secondes et vingt-trois centièmes, il dut se relever sous l'impulsion désarçonnante et incontrôlable de môsieur Telford, qui n'aurait sûrement pas à attendre la fin de la soirée avant d'être envoyé la tête la première dans les égouts, qui apparemment étaient plus immondes que jamais. Et la balade d'un sorcier et de son gnome commença. Il ne fallut pas longtemps avant que ledit gnome trouvât quelque chose de nouveau à redire sur cette école, ce qui provoqua l'arrêt momentanément de la navette et donc la collision du Directeur avec l'éclaireur. Evans, excédé, donna alors avec son pied une impulsion au cul du petit homme pour qu'il tombe et nettoie avec sa langue le sol de toute la salle sur sa lancée. Un aura magique apparut ensuite au-dessus de la tête de l'auror, qui fit semblant de regarder ailleurs. Heureusement qu'il était doué en enchantements !

- Bien, continuons, ne dites rien, ou alors dites-moi seulement où je me trouve à chaque passage dans un lieu différent !

- Hmmm... Dans ton cul ?

Après les douze salles d'Hercule, l'infirmerie pointa le bout de son nez – ou Telford pointa le bout de son nez à l'infirmerie. Le professeur Dablord se posa alors dans un coin et observa bouche bée le massacre du bureaucrate, qui ne s'arrêtait jamais, passait d'un endroit à l'autre toutes les deux secondes, et était littéralement une pile ambulante.

*Pitié, faites qu'il se passe quelque chose...*

- Eh bien, on ne peut pas dire que ca soit vraiment rangé ! Comment faites vous pour soigner convenablement les élèves mademoiselle ?

- Ici on ne les soigne pas... On les égorge et on les vide de leurs entrailles qui sont finalement mises en apéritif au dîner, à côté du si banal foie gras...

Evans n'aidait pas vraiment à donner meilleure réputation à l'école, mais sachant que c'était perdu d'avance, autant s'amuser ! Oliver n'avait d'ailleurs pas tellement dû apprécier puisque le Directeur reçut la porte de l'infirmerie en pleine tête, ce qui eut pour effet de l'assommer quelques secondes. Quand il rouvrit la porte, il fut contraint de reprendre la marche forcée dans tout le château pour finalement être congédié lorsque Telford eut pour brillante idée de manipuler les élèves. Qu'il les manipule, si ça lui faisait plaisir ! Ca n'allait sûrement pas changer grand-chose...

- Biiiien, monsieur Telford. Je m'en vais corriger mon infirmière ! Oh, elle sera sévèrement punie ! Oh, oui !

Alors que le sorcier s'éloignait pour retourner vers l'infirmerie, enfin tranquille, un cri perçant se fit entendre. Vu le timbre, c'était à n'en pas douter la créature qu'hébergeait chez lui le concierge, la créature d'ailleurs la plus moche qu'il n'avait jamais vue ! Le temps de rejoindre le lieu de travail de Persephone qu'un énorme projectile le frappât de plein fouet et le fît violemment tomber sur le dos !

- A moi ! A moi ! A... Azuki ? Mais, mais... Mais qu'est-ce que vous foutez, triple-buse ?!

- Monsieur le Directeur ! La vachounette, ce que ça fait plaisir de vous voir !

- Mais j'm'en fous, dégagez !

Complètement ahuri, Evans repoussa la jeune fille d'un coup sec, se releva et épousseta ses vêtements alors que la terroriste expliquait son geste en le prenant par le col.

- Lâchez-moi. Lâchez-moi ?... Lâcheeeez-moi... Attendez... Lâ... chez... moi... répétait-il patiemment en décollant un par un les doigts de la fille de son col.

- On a un problème, les morts reviennent se venger ! La porte de la neuvième strate des Enfers s’est ouverte ! C’est l’Apolakypse !!! Les suppôts de Satan arrivent… et en plus ils sont moches ! Franchement, Lulu baisse dans les critères de recrutement. Ils sèment des morceaux sur leur passage, si ça se trouve, ils vont se multiplier et la terre ne sera plus qu’un marais putride et stérile !

- Oh la vache ! La salope, elle a bavé sur ma ch'mise ! Aaaaah, c'est dégueulasse !

Qu'elle aille pourrir les vêtements de quelqu'un d'autre, l'hystérique ! En attendant, le professeur serait dans l'infirmerie... Ah bah... Pas de bol, c'était aussi la destination de la folle ! Celle-ci commençait déjà à mettre tout le monde à cran ; la soirée commençait décidément bien ! A côté de la porte, Evans hochait la tête d'un air médusé tout en essuyant désespérément sa chemise. En plus de la tâcher, elle y avait aussi mis l'odeur ! Et pourquoi pas le goût tant qu'on y était ?! Encore que... Non, c'étaient plutôt les canalisations... Moui, les canalisations se rapprochaient... Se rapprochaient... Se... rapprochaient ?? Ouvrant brusquement la porte pour découvrir l'origine de ce déplacement d'égouts, le Directeur tomba nez à nez avec un groupe d'Inferi. Surpris, seul son instinct d'auror lui sauva la vie : un crochet du droit dans les dents du premier venu, un croche-pied au second, et un claquage de porte au troisième suffirent en effet à bloquer les envahisseurs, au grand soulagement – quoique temporaire – d'azuki. Aussitôt le plus urgent réglé, Evans se retourna vers la pythie.

- Mais pourquoi vous ne l'avez pas dit plus tôt, espèce de débile ?!

Bon, il fallait à tout prix protéger l'école... Comment faire ? Le Directeur du Bureau des Aurors se mit alors à faire les cent pas tout en réfléchissant à haute voix.

- Plusieurs choses. Tout d'abord, barricader l'infirmerie et protéger ceux qui ne peuvent pas se défendre seuls. Ensuite, trouver les autres, les avertir si ce n'est déjà fait, prévenir le ministère de la Magie si c'est possible, et surtout, découvrir l'origine de ces Inferi. Le problème, c'est qu'ils n'arrivent jamais seuls et qu'on n'en a donc vu qu'un petit échantillon... La bonne nouvelle, c'est qu'ils n'apparaissent pas seuls et qu'il y a donc forcément une solution. En découvrant qui en est responsable, on les fait disparaître. La mauvaise nouvelle, c'est que justement, on ne sait pas qui est cet inconnu, et qu'on ne peut plus faire confiance à n'importe qui... Les Inferi ne sont pas à la portée de n'importe qui. Moi-même je ne sais comment les combattre... Peut-être y a-t-il la réponse à la bibliothèque, mais encore faut-il qu'elle existe toujours... MAIS QU'EST-CE QUE VOUS ATTENDEZ POUR BARRICADER LA PIECE !?!

Le professeur ordonna ensuite que les blessés soient déplacés vers la fenêtre, prêts à être hissés vers les étages supérieurs. Débuta bientôt une terrible bataille affrontant les « Terribles Inferi » aux « Robustes Hystériques ». Evans, accroupi derrière un lit mit sur le côté, lançait sortilèges sur sortilèges afin de repousser les créatures. Malheureusement, son expérience ne comprenait pas de tels combats, et il dut rapidement recourir à des subterfuges pour bloquer l'Envahisseur. C'est ainsi que sa baguette fit tomber les lustres de l'entrée, explosa tout ce qui était près des ennemis et revint régulièrement directement viser les cibles prioritaires...

par Julius Horg Dim 7 Fév - 19:08

Owen peu après Julius s'élança dans un vibrant éloge de l'école. Tout au moins c'est ce qu'aurait espéré le jeune serdaigle qui tomba des nues en entendant Owen comparer la salle de retenue avec une salle de torture. Il lança à celui-ci un regard noir, ce qui ne sembla pas le perturber plus que ça. C'est en grommelant tout seul qu'il suivit de mauvaise grâce l'inspecteur, Noémie et Owen jusqu'à la bibliothèque afin qu'ils donnent leurs avis sur cette salle.

Cette fois, Julius en était certain, personne pas même Owen ne pouvait trouver à redire sur la salle dans laquelle il avait passé tant et tant d'heure. Tant de livres, de connaissance, le calme appréciable des lieux. Pas à dire, pour lui ça s'apparentait presqu'à un paradis. Il ne réalisait d'ailleurs absolument pas que pour une majorité des élèves c'était une pièce ennuyeuse à mourir.

Il pénétra donc dans les lieux avec un petit sourire au moment précis où l'inspecteur poussait un cri d'éffroi. Tout ça pour avoir fait face au fantôme d'un ancien élève qui régnait sur la bibliothèque. Il est vrai qu'une telle apparition pouvait passer pour surprenante mais Julius pour sa part aimait bien le fantôme qui semblait vouer aux livres la même dévotion que lui.

Toujourds est il que là tout de suite ça n'arrangeait pas mais alors pas du tout les affaires de l'école. Plus les minutres passés plus Juju voyait se profiler à l'horizon une fermeture des lieux.

- Oh mais c'est pas vrai, dites moi pas que c'est pas vrai. ça se passe mal mais alors vraiment très très mal. Mais pourquoi me suis je donc leveé ce matin?

Chuchotait il à Noémie qui faisait du mieux pour le calmer alors que de son coté l'inspecteur faisait marche arrière et ouvrit la porte du couloir. Julius n'y prêtait guère attention continuant à faire part à ses camarades de son état de nervosité:

- Et si il fermait l'école... vous vous rendez compte? Plus de...

Quelque chose clochait, ses camarades viraient au blanc, fixaient la porte avec terreur et il doutait fort que ce ne fut à cause de la perspective d'une fermeture de l'école. Il se retourna doucement pour voir les inferi traverser le couloir devant la bibliothèque. Un cri de terreur franchit imlmédiatement ses lèvres alors qu'il voyait l'inspecteur se faire happer par une des créatures.

Bien fait! Certes... pourtant ils ne pouvaient le laisser ainsi en danger sans interveniur. Ce n'eut pas été particulièrement moral, voyez vous. Aussi apttrapa t'il sa baguette, surmonta t'il son envie de partir à toutes jambes au fond de la bibliothèque et commença til à jeter des sorts au hasard jusqu'à ce que l'inferi lâche sa proie qui vint se réfugier dans la bibliothèque.

Encouragé par Noémie, qui avait de loin le plus de courage au sein du trio d'élève (elle ne devait pas être gryffondor pour rien celle là, Julius se retrouva en train de bloquer la porte avec une étagère aidé de ses deux camarades. Il voyait du coin de l'oeil des livres tombés en tout sens sans que quiconque y prête la moindre attention hormis le fantoôme.

- Les liiiiivres!!!!

Hurlait il d'une voix suraigue alors que déjà les inferi parveniat à faire des trou dans la porte. Celà n'aidait pas du tout le jeune garçon à reprendre son calme. Il semblait plutôt au bord de la crise de nerf. Il jetait ses sorts n'importe comment, jetait tout ce qui lui tombait sous la main excepté les livres dont il tentait de sauvegarder la vie en les empilant à ses coté. Et surtout il criait tou et n'importe quoi:

- Nooooooon pas la bibliothèque! On va mouriiiiiir.... Je veux pas retourner chez ma mère. Noémiiiiie fais quelque chose! Par merlin, dites moi que c'est un effroyable cauchemar... ET PAR PITIE OWEN ARRETE DE CASSER LE MUR! Ils y arriveront bien assez tôt!

La pauvre garçon continuait entre deux cris et sanglots à balancer des chaises en direction des inferi dont la progression ne cessait.

par **Stéphane Fovrai** Lun 8 Fév - 19:20

Les élèves de Gryffondor que Mana avait fait fuir de leur dortoir se mêlerent à la marrée des morts-vivants. Les élèves tous courageux foncerent dans le tas de maniere desordoné, ce qui ut pour effet d'excite les Inferus qui y voyerent un festin de roi. Les cris etaient diverses dans le brouhaha des combats. Certains hurlerent leur sort aux effets devastateurs, d'autre crierent à l'aide, se faisant emporter par des groupes de cadavres ambulant. Mana quant à elle songea qu'il etaitétrange qu'autant de bruit se fasse entendre, elle décida donc d'y jetter un oeil avant d'aller faire quelques mesquineris. Mana fut à la fois horrifié de voir un combat avec des morts-vivant, mais aussi excité de pouvoir semer la mort, peu importe qui en serait les victimes. Se jettant dans la mêlé, elle fut en proie à une rage meutriere, similaire aux berserks viking, qui quand commencerent un masacre, ne pouvait s'arreter qu'une fois mort, ou tous les autres, même leurs alliés, mort aussi.

Pendant que celle-ci s'etasiait de la mort qu'elle semait, le directeur dû ordonner une retraite improvisé pour lui, les eleves blessés et les ancennes eleves de serpentard tout aussi folle, mais de desespoir. Evans ordonna aux sorcieres de soutenir la defense, pendat qu'il envoyait les élèves en congés maladie par la fenetre... pour les faire léviter à l'étage du dessus, jusqu'à une fenetre de la bibliotheque. Tous les eleves malades furent sauver par le directeur qui replongea dans ses palabres de sortileges, pour laisser le temps aux Serpys de s'enfuir à leur tour, mais celle-ci souhaiterent plus sauver leurs peaux que cells de leur amie. Les Inferus firent un cercle autour du dernier combattant, le directeur qui dans un geste de dernier espoir, lanca un sortilege qui fit écrouler les murs sur ces baveux d'inferi. Sautant par la fenetre, Evans se fit tout de même rattrapé grâce à un sort de lévitation, lancée par Noémie qui durant le combat de la bibliotheque, s'etait aperçu de l'intrusion de rescapés.

Telford, restait planqué derriere une table renversée et lancait sur les attaquants les livres que le fantome Stephen s'empressait d'aller ramasser pour les ranger dans un autre coin. Apres la grosse boulette d'Owen qui avait perforé le mur qui retenait la masse d'inferi, lui et Julius continuerent de lancer des sortleges en reculant vers un poste défensif constitué d'étagere fracassé, et d'un vieu canapé défoncé.

Les trois anciennes eleves elles, resterent contre le mur du fond, mais tinrent tout de même les créatures à distances, en leur envoyant des morceaux de murs qu'Owen avait eut la délicatesse de faire exploser. Le direceur sauvé parNoémie, se joignit cette fois à elle et repousserent les inferis en les attaquant sur le flanc.

Les Inferis etaient pris entre deux feux, celui de la bibliotheque où les combattants maintenant la defense du siege, et celui du couloir de la salle commune des Gryffondors, qui tomberent uns à uns, sous les ongles pourris des mangeurs de cervelles. Le directeur fit ramrqué qu'il fallait faire fuir les élèves et contenir les créatures à l'aspect marécageux avec le reste du personnel et des possibles secours de Pré-au-lard. Owen comprenant qu'il devait aller prevenir ses amis de Poufsouffle, produisit un sort qui eut pour effet de souffler les ennemis et de lui créer un passage dans le couloir alors que le directeur lui criait de revenir. Owen n'entendit rien et fuya en direction de sa salle commune. Voyant là une proie facile, plusieursdes Inferis le suivirent et lui donnerent la chasse.

Le groupe de rescapé profiterent de la diversion pour rejoindre les quelques gryffondors qui se batterent toujours dans le couloir. Noémie regroupa les quelques eleves qui avaient autrefois formés l'ASNO et dirigea ses combattants tels un chef d'orchestre. Les gryffondors osant moins plonger contre les inferis, se regrouperent pour se mettre sous les ordres de Noémie, qui apparement semblait être dans son élément. Julius li tira Oliver Telford qui tremblait comme une feuile, pour l'enmenere dans le dortoir des serdaigles pour prévennir les siens. Julius donna l'alerte et mit tous ses camarades sous son ordre (bien qu'il ne s'en rendit pas compte, pris dans le feu de l'action). C'est donc entourré des combattants de serdaigle (dont certains rejoignirent Noémie, habitués à obéir à la présidente de l'ASNO. Les deux grandes maisons formerent un bloc decombattant et repousserent les Inferi, aidés par le directeur qui avait rassemblé les quelques professeurs et membres du personnels de l'école qui n'etaient pas partit en vacance.

C'est donc en tout une trentaine de combattant qui repousserent les Inferis qui semblait toujours attiré par les têtes bien remplie des combattants sorciers. Mana rejoigna les derniers combattant et decida cette fois ne s'attaquer qu'aux inferis, etant sous la présence du directeur.

par Noémie David Ven 12 Fév - 19:24

Noémie était dans le dortoir des Gryffondors, assise sur sont lit à regarder par la fenêtre les flocons de neige tomber de moins en moins vite. En cette fin d’après-midi, la plus grande partie des élèves qui étaient restés pour les vacances étaient partis dehors. Malgré qu’elle adore la neige, la Gryffondor n’était pas sortie, plus occupée à réfléchir. Bizarrement, elle avait un mauvais pressentiment. Pourtant, quand la nuit fut presque tombée et que tous les élèves rentraient, elle prit sa cape hivernale et se dirigea vers le parc, bien décidée à aller prendre l’air avant d’aller manger. Après tout, ça lui changerait les idées.
Au bout d’un certain temps pendant lequel elle s’était promenée aux alentours du lacs et des serres, elle tomba sur Julius. Ils continuèrent leur promenade ensemble avant de tomber par la suite sur Owen, qui avait complètement l’air d’être dans le monde des bavboules. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas ça, mais Noémie préférait largement parler de Quidditch.
Alors que la nuit était presque tombée, les trois jeunes gens passèrent devant le portail, et c’est alors que…

- Dites, vous ne trouvez pas qu’il a quelque chose de bizarre, ce portail ? fit remarquer Noémie en le montrant du doigt.

Le petit groupe s’y dirigea malgré le léger soupire de Julius et c’est alors qu’ils découvrirent un homme assez étrange pour ainsi dire coincé dans le portail. La jeune fille reteint un rire et se présenta. Avec ses deux amis, elle sortit l’homme de sa prison.

- Merci les enfants, je vais dire à votre directeur que vous êtes venus m’aider, je peux constater que les élèves de Veranda Bolsd savent au moins les bases du respect et de l’entraide !

Alors que Noémie cherchait à faire connaissance avec l’homme, Julius intervint, ce qui lui fit comprendre qu’il devait il y avoir quelque chose qui clochait. Le fait que l’homme sorte un calepin et note des choses alors qu’il aurait mieux fait de s’occuper de ses papiers qui goûtaient à la boue de la neige fondu le prouva.

- Bah pourquoi, je n’ai pas faim moi, et puis ce n’est pas l'heure de manger, on pourrait ... aieuh ! Pourquoi tu me marche sur le ... aieuuuuhhhh ! Mais t'arrêtes oui ?

- Mais tu vas te taire, oui ?!

Même si écraser les pieds de quelqu’un et lui dire pas très sympathiquement de se taire n’est pas une preuve d’amitié, Owen avait compris et, après un signe à l’homme et un regard vers Mana qui creusait, ils se dirigèrent vers le château. C’est alors que Julius s’expliqua. Ne faisant même pas attention aux remarques que disait Owen avec ses bavboules, Noémie réfléchissait à tout ça.

*Eh bien ! Les vacances vont être pimentées… J'aurais dû le laissé coincé dans le portail, celui-là...*

Les trois élèves continuèrent de se promener dans le château. Le Poufsouffle faisait un monologue qui empêchait Noémie à se concentrer sur l’affaire alors que Julius répondait au hasard sans même savoir de quoi parlait la discutions. Owen ne semblait pas vraiment s’en faire, autant pour ce qu’avait dit Julius à propos du soi-disant inspecteur que pour une odeur qui devenait de plus en plus insoutenable, on ne sait pourquoi.
C’est alors que, à leur plus grand désespoir il recroisèrent l’homme qui s’avançait vers eux. La Gryffondor regardait le directeur faire demi-tour.

*Nooooooon !!! Professeur ! Revenez ! Je ne veux pas parler avec luiiii !!!*

Noémie se serait bien mise à genoux en tapant le sol si elle aurait pu, mais, malheureusement et comme l’avait dit le Serdaigle, il fallait faire bonne impression et montrer une bonne image de Veranda Bolsd. Ça n’allait pas être de la tarte, avec Mana qui était derrière, les mains pleines de terres et un collier autour du coup, lui aussi plein de terre. Sans doute le truc qu’elle avait dû déterrer avant.

- Très bien, vous allez tous me dire ce que vous pensez de l'école ! N'ayez pas peur, vous ne courrez aucun risque, le ministère pourra même vous accorder des petits "crédits" si vous dites le plus de vérité possible ! Soyez honnêtes, plus vous me direz de chose qui m'intéresse, plus vos parents seront fiers de vous !

Avec les yeux embués à cause du malheur qui s’abattait sur ses épaules, La préfète se retourna vers l’inspecteur. C’est Julius qui commença en faisant plein d’éloges sur l’école de sorcellerie et qui cherchait des suppléments de sa part.

- Ahah ah oui c’est bien la meilleure école de sorcellerie que j’ai vu ! Je peux vous l’assuré ! En France, les autres ne lui arrivent même pas à la cheville, et j’imagine que c’est de même pour toutes les autres ! Il y fait bon vivre, et sérieux, connaissance et persévérance sont les mots maîtres de l’école !

Alors que le tour d’Owen était arrivé, et donc le pire de ce qui pouvait arriver, un cri se fit retentir, au plus grand bonheur de la Gryffondor (même si on pourrait s’imaginer le contraire). Se tournant, dos à l’inspecteur, elle serra les poings avec un grand sourire.

*Yes ! Je suis préfète, je vais donc devoir aller voir ce qui se passe, et je demanderais à Julius et Owen de m’accompagner au cas où, et c’est dans la poche !*

- Je suis navrée monsieur mais nous…

- Ah,... Ah ah... C'était peut-être un cri d'élève qui a perdu à cache-cache, hein les enfants ? Bref, et si nous allions un peu plus loin, euh... Là-bas, vous allez me dire ce que vous aimez dans cet endroit, voir si vous vous plaisez partout ou si par ici par exemple, vous vous sentez mal à l'aise !

*Par la barbe de merlin ! Mais il ne va pas nous lâcher, ce trouillard !!!*

De plus, Julius avait l’air de ne pas avoir de plan et Owen croyait en mensonge de l’homme, de quoi baisser le moral d’un troll. L’interrogation continua de plus belle et, alors qu’elle s’apprêtait à prendre la parole, Owen la coupa et raconta une histoire qu’un préfet de Serpentard avait racontée aux élèves de première année pour éviter qu’ils fassent de bêtises.

- Mais… Mais non, voyons ! Je ne sais pas qui t’as raconté se mensonge mais ce n’ai pas du tout vrai ! Ahahah Il ne faut pas l’écouter monsieur, ce n’est qu’un petit mensonge qu’il a vite cru ! Ahah !...

*Nom de Merlin, je vais faire un meurtre si ça continue…*

Alors que Noémie venait de s’assoir pour se calmer, l’inspecteur les emmenait déjà dans une autre salle. Avec un soupire qui ressemblait plus à une lamentation qu’autre chose, elle le suivit dans la bibliothèque, où l’homme faillit déjà faire une crise cardiaque en voyant un fantôme passer en leur disant de ne pas faire de bruit. Ce n’était vraiment pas leur jour.
C’est alors que Noémie vit à l’entrée de la bibliothèque…

*Inferius !*

Oui, c’était bien un Inferius qui se tenait devant eux, Noémie le reconnu tout de suite, malgré qu’elle n’en a jamais vu auparavant. Elle avait lu beaucoup de choses sur ces créatures.

*Les Inferius sont des cadavres ramenés à la vie et contrôlés par le Mage Noir qui les a créés… Eh zut ! Il fallait en plus que ça tombe ce jour-là !!!*

L’Inferius sauta au coup de l’homme qui s’était approché de lui. Il semblait ne pas avoir apprécié la question que lui avait posée l’inspecteur. Même si Noémie ne ressentait pas beaucoup d’amitié pour ce fou, elle ne pouvait pas le laisser comme ça, et c’est en même temps que Julius et Owen qu’elle sortit sa baguette et se mit à lancer toute sorte de sorts sur le zombi revenu d’entre les morts.
Ne faisant même plus attention aux remarques du fantôme ou même à ce qu’elle aurait pu dire auparavant, elle prit des livres et les balança sur les autres morts-vivants qui se joignaient à la bataille.
C’est alors que les autres Gryffondors se joignirent à la bataille, alors qu’ils n’étaient pas censés être au courant de ce qu’il se passait. Le bon côté, c’est qu’il y avait des renforts mais le mauvais, c’est que les Inferius semblaient encore plus heureux à la vue de cette chaire fraiche qui s’offrait à eux. Maintenant, il n’y avait pas que sa peau à sauver, mais aussi celles de ceux qui se faisaient emporter ! De plus, aucun sort ne marchait sur ces bestioles du monde des morts. Le seul moyen était soit de fuir, soit d’éliminé celui qui était à la tête de cette rébellion assez spécial. Mais la question était : qui était-ce ?
Elle n’eut pas plus de temps pour réfléchir. Déjà, le directeur s’était fait encerclé en sauvant les vies des sorciers malades. Elle soupira et s’y dirigea en courant en jetant des sortilèges sur ceux qui lui barraient la route. Elle dû utiliser un sort de lévitation pour récupérer son professeur qui, pour sauver sa peau, avait sauté par la fenêtre. Alors qu’elle n’était pas très forte pour ce sortilège si on rajoutait les zombis, ce n’était pas facile. Un coup de pied par-ci, un coup de poings par-là alors qu’elle aider le professeur Dablord à remonter.

- Dites, professeur, vous comptiez vraiment sauver votre peau en sautant ? Parce que, ce n’est pas pour dire, mais je crois que vous seriez quand même mort sinon… fit-elle remarquer avec une petite pointe d’humour, même si ce n’était pas vraiment le moment. Ah ! Mais c’est qu’il me bave dessus, le dégueu ! Dégage ! Je ne suis pas comestible !

Elle donna un bon coup de pied en pleine figure à l’Inferius qui lui bavait dessus en essayant de l’étrangler avant de se rendre compte qu’elle s’était faite elle aussi encerclée avec tout ça. La Gryffondor sortit de sa poche des bavboules qu’on lui avait offert pour en balancer par terre et sur la figure des mort vivants pour les faire reculer même si ça n’avait pas eut beaucoup d’effets. Avec l’aide d’autres élèves, ils réussirent à sortir de ce piège et à aider les autres. En tant que membres de l’ASNO, les Gryffondors qui avaient étaient sous les entraînements de la jeune fille se joignirent à elle dans un combat acharné, alors que des Serdaigles se joignaient à eux et que les autres élèves fuirent le combat pour Prés-au-Lard. Petit à petit, malgré que les Inferius ne tombent pas, les élèves parvinrent à les faire reculer et à prendre l’avantage.

par Mana Maldorane Lun 15 Fév - 14:49

Mana venait de trouvé cette salle qu'elle cherchait depuis quatre ans la salle sur demande se fut par un curieux hasard qu'elle le découvrit se qui la comblât de joie avec une tel salle elle pourrait faire encore plus de mal qu'avant et même y planqué quelques cadavres qui trainait dans les placard au sens propre comme au figurée. Elle pénétra dans la pièce à laquelle elle avait demandé du matériel qui l'aiderait à se venger de ses fichu gryffondor qu'elle haïssait tans à la fois par principe parce qu'elle était serpentard et que serpentard et gryffondor se détestait à peux près depuis la création de poudlard et le fait qu'elle soit détruite et remplacé par veranda Bolsd n'avait rien changé à cette haine que se vouait les deux camps mais aussi parce que globalement Mana haïssait tous le monde dès qu'il ne pouvait pas servir ses ambitions de pouvoirs ou n'était pas raide mort à ses pieds. Elle trouvât dans la salle une cape d'invisibilité, quelques sorts utile qu'elle s'empressa de mémorisé et dans sa tête l'idée germât de saccagé et volé la salle commune des gryffondor afin qu'il croit qu'un voleur trainait dans les rang et se mette à se méfié de tous le monde. La chance lui sourit se jour la car à peine sortie de la salle couverte de la cape d'invisibilité elle croisât des gryffondor qu'elle décidât de suivre afin de pouvoir entré dans leur salle commune et en obtenir le précieux mot de passe afin de revenir plus tard aussi. Elle finit donc par parvenir à entré dans la salle commune des gryffondor regrettant de ne pouvoir utiliser un avata kadevra ou ses couteau pour pouvoir tué ses piètres gryffondor mais sa ne serrait pas très judicieux. Alors qu'elle allait commencé son méfait une détonation retentit et la fit sursauté la faisant laché la cape et se faisant découvrir. Vive comme l'éclair son esprit échafauda un plan et elle dit comme si de rien n'était et qu'elle était à sa place dans cette salle

"Vite il faut fuir Veranda est attaqué vous avez entendu cette détonation de nouveau mage noir attaque le château afin de le réduire en cendre et de tous nous tué"

Mana ne s'attendait pas à se que s'est parole ai un tel effet. Tous ses stupides gryffondor fuirent la salle la laissant seul à l'intérieur aussi elel changeât un peux ses plans de départ au lieux de volé et saccagé elle mit le feu à tous le dortoir et a leur salle commune avant de se dire que se bruit n'était quand même pas normal et de décidé d'allé jeté un coup d'oeil au cas ou son mensonge s'avérât vrai se qui la ravirais bien sur à peine quitta t'elle la salle commune des gryffondor qu'elle tombât sur des inferis. mana avait toujours détesté ses créature néanmoins elle se demandais qui avait put les envoyé ici. Elle dut évité une attaque d'inferis puis les prenant pour une chance de commettre un maximum de mort sans se faire prendre et d'éradiquer un maximum la race des gryffondor elle prit sa baguette et lançat des expeliarmus a tour de bras privant les gryffondor de leur seul protection et laissant les inferis se chargé du reste. Elle adorait sa participé au masacre des gryffondor et a un réel génocide et aurrait bien continué encore mais elle tombat sur le directeur

*et merde fallait qu'il soit la suis la alors que je m'amusais tans bon tans pis va falloir que je me batte à leur coté car je peux pas rivalisé contre eux si encore il avait été seul j'aurait put tenté de le privé de sa baguette et laissé les inferis faire le reste mais la j'ai aucune chance*

Elle se raprochât donc du groupe en courant faisant semblant d'être paniqué. évita sans problème les attaques trop lente de ses cadavres desséché puis une fois arrivé près du groupe joint ses forces au leur pour combattre les inferis et protégé l'école. tout en gardant l'espoir de pouvoir trouvé une brèche a exploité dans se groupe qui devait être un des dernier remparts à la victoire des inferis. Si mana pouvait le détruire de l'intérieur alors se serrait la fin de veranda bolsd et une nouvelle ère commencerait une ère de peur et de magie noir aussi tandis qu'elle lançait ses sorts réfléchissait elle au moyen d'annihiler se petit groupe composé pour la plupart de sorcier bien plus puissant qu'elle.

par **Evans Dablord** Sam 20 Fév - 1:25

La situation était tendue. Les Inferi semblaient toujours plus nombreux et progressaient petit à petit vers le rempart improvisé. Le Directeur connaissait de très nombreux sortilèges aussi divers qu'utiles et avait la réputation d'un sorcier quasiment imbattable, mais c'était bien loin de la vérité et ses limites apparaissaient très clairement dans ce combat. Il arrivait de moins en moins à faire face aux créatures approchant de tous côtés, et la situation n'était guère mieux auprès des Serpentard. Cependant, alors qu'il combattait, le professeur Dablord était toujours hanté par la même question : qu'est-ce que faisaient des Inferi ici, à Veranda Bolsd ? Aucun élève et sûrement aucun professeur n'était capable d'un tel enchantement... Evans repensa alors à l'actualité du monde magique ; un nouveau mage noir se faisait peu à peu connaître et avait pour seul nom connu « monsieur Quinn ». S'il était aussi doué pour la magie que pour la stratégie, il était peut-être à l'origine de cette attaque, quoiqu'il n'eût aucun mobile...

Quoiqu'il en fût, l'infirmerie était débordée, non pas par les blessés mais par les Inferi – encore que, si l'infirmerie subsistait, il y aurait sûrement beaucoup de patients par la suite. Sachant qu'ils ne feraient pas le poids encore bien longtemps, l'auror donna le signal de la retraite. Il ordonna aux trois filles de tenir leur position alors qu'il ferait léviter les blessés. Arrivé à côté de la fenêtre de la réserve de l'infirmerie, la pièce la plus éloignée de l'entrée, Evans jeta un coup d'œil dehors pour éclaircir la situation – hauteur avec l'étage supérieur, éventuels renforts au loin, etc. – mais il ne fut en fait pas plus renseigné. Les patients, une dizaine, attendaient dans la pièce, le plus proche possible de la fenêtre, et semblaient très impatients, ce qui était très facilement compréhensible. Le professeur se mit donc en devoir de faire léviter un par un les élèves dont il avait la charge, sans repenser une seule seconde au destin d'Oliver Telford, qui avait, semblait-il, des doutes quant à la sécurité régnant à l'école... Bientôt ce fut le tour d'Azuki, de son amie, et de Persephone. En quelques secondes les Inferi les rejoignirent, et Evans fut contraint de faire s'écrouler l'arche qui séparait la réserve du bureau d'infirmerie. Il comprit un instant plus tard que cela n'avait pas suffi, un instant trop tard...

Alors qu'un Inferus tendait le bras pour l'attraper, le Directeur prit appui sur le rebord de la fenêtre et sauta dehors. Il s'apprêtait à créer quelques mètres plus bas un sortilège de trampoline lorsqu'il se sentit léviter et monter petit à petit... Il arriva ainsi à son tour dans la réserve de la bibliothèque, où l'attendait Noémie et tous les autres. Un simple sourire suffit à la remercier avant de devoir une nouvelle fois combattre les créatures ensorcelées.

- Priorité à la protection des élèves, en particulier des plus jeunes ! Il faut faire en sorte de rassembler tous les Inferi ! Allez allez allez !

A peine finit-il sa phrase que le jeune MacKenzie s'élança à travers les Inferi sous le regard terrorisé du maître des lieux pour une absurde tentative de... De quoi, déjà ?

- MacKenziiie ! Revenez !

Le mur de cadavres se referma aussitôt derrière lui, tel un passage secret verrouillé, et Evans ne put suivre le Poufsouffle. Il regretta alors de ne pas avoir son collègue et ami Stéphane sous la main ; lui aurait peut-être su quoi faire... Eh, mais... Ils étaient dans la bibliothèque, le plus grand recueil de connaissances à leur disposition...

- Stephen ! cria-t-il au fantôme qu'il avait vu se faire assassiner quatre ans plus tôt. Laisse tomber les livres et va dans la réserve ! Cherche tout ce qu'il y a un lien avec les Inferi ! Vite !

En tant que bibliothécaire depuis une demi-dizaine d'années, le fantôme connaissait le rangement des livres comme sa poche et pouvait donc se révéler très utile. Il n'y avait plus qu'à espérer que la réponse se trouve dans le château...
Pendant ces quelques instants, Noémie et Julius, seuls sorciers courageux – et surtout téméraires – dans cette école, avait déjà profité de la diversion pour repousser les Inferi et rejoindre le groupe de Gryffondor qui arrivait. Un semblant d'espoir se profila bientôt à l'horizon, la résistance s'organisant...
Lorsque la ligne adverse recula suffisamment pour ne garder qu'une seule ligne de front, Evans ordonna de camper temporairement sur leurs positions. Il voulait que ceux qui ne combattaient pas créassent des barricades pour protéger les derniers étages au cas où la situation empirerait. Après tout, s'il y avait effectivement une tête pensante derrière tout ça, la stratégie ennemie pouvait changer à tout moment...

par Julius Horg Sam 20 Fév - 10:33

Julius ne paniquait pas. Non: paniquer c'était à un degrés bien moindre que ce qu'il faisait à présent. Obligé de se rabattre lui aussi dans le lancer de livres (de ces précieux livres qu'il aimait tant, avec lesquels il pouvait passer des heures et des heures...; enfin bref) il en avait les larmes aux yeux à chaque fois. Jetant des sorts en tout sens il hurlait, en proie à une quasi crise de nerfs, des parole inintelligibles pour ses camarades.

- AAAAaaaaah... je.. on va... Naaaaan les livres! En plus ma mère... ma mère... elle va me tuer si je suis pas mort. Owen NAAAAAAAAAAAN!

Car si Julius n'en menait pas large, Owen était certainement le pire combattant que Julius n'est jamais rencontré. Il venait tout juste de faire exploser une partie du mur, laissant tout le loisir à leurs ennemis de pénétrer dans la bibliothèque.

Il lui jeta un coup d'oeil glacial en le traitant de tous les noms d'oiseaux qui lui passaient par la tête. Pourtant toujours poli il était vraiment pour le coup très en colère contre le jeune poufsouffle qui ne leur était pas d'une grande utilité loin de là.

Au moins la bévue de celui-ci eut pour avantage de metrre fin à la crise de nef de notre jeune serdaigle qui inspira un grand coup et se mit à lancer des sorts sans plus crier inutilement. Du coin de l'oeil il observait le directeur et les gens de l'infirmerie qui venaient de les rejoindre tout en continuant de réfléchir.

Oui réfléchir: c'était la clé pour sortir d'ici en un seul morceau. Ce qui leur manquait: des personnes en état de faire front avec eux. Parce que ce n'était pas les malades de l'infirmerie qui se révélerait très euh... combattif dirons nous.

La solution lui vint en voyanty Noémie rejointe par une troupe de Gryffondor: Ses camarades, il n'y avait même pas pensé. Outre le fait qu'il fallait les mettre à l'abris, ils se révéleraient certainement de nature à les aider à faire front face à l'attaque.

Aussitôt dit aussitôt fait. Il approcha d'Olivier Tedford et le tira par la manche assez brusquement.

- Msieur, vous devez m'aider à aller alerter les élèves pour les mettre à l'abris.

Le ton était résolu et sans appel. En temps normal Julius n'aurait jamais parlé à un adulte sur ce ton là. mais les circonstances amenaient des manières nouvelles. Devant ce ton sans appel l'iinspecteur n'osa même pas discuter et le suivit trembalnt comme une feuille. Ils se rendirent aussi discrétement que possible jusqu'au dortoir qui, par chance se situait à quelques pas à peine de la bibliothèque.

Sans se poser plus de questions Julius sauta sur une des tables en interpelant ses camarades. Le regard médusé qu'ils lui jetèrent était particulièrement révélateur du fait qu'un tel comportement n'était guère dans les us du si discret juju la frousse. Cela devait donc être grave et le silence se fit donc immédiatement.

- L'école est attaqué par des inferi: Il faut évacuer les dortoirs. Tout le monde se rassemble dans la bibliothèque suivez moi!

En bon ordre les élèves le suivirent jusque là, se plaçant en quelques sortes sous son commandement, bien que celui-ci ne se rendent pas vraiment compte du nouveau rôle qui lui incombait. Ils rejoignirent rapidement Noémie, son groupe de Gryffondor et les quelques adultes qui faisaient face aux inferi. Julius prit une grande inspiration tendit sa baguette en direction de leurs adversaires et se remit à l'attaque bien vite imité de ses nouvelles recrues.

par Owen MacKenzie Sam 20 Fév - 14:26

Reducto ! Reducto ! Reductoooo ! Reducto reduct reducto reducto...

Owen n'etait pas le plus doué en cours de sotilege. Ni pour retenir plus d'une formule. Continuant de lancer ses sorts qui rebondissait contre les créatures, n'infligeant aucun dommage, mais ayant pour effet de les faire reculer, Owen continua sa salve de trait rougeoyant contre les peaux grise et verdatre des supos des marecages. Owen se lassa de lancer tout le temps le meme sort, d'autant plus que ce n'etait pas efficace. C'est donc en continuant ses répétitions qu'il commença à réfléchir àune formule à un effet devastateur.

*Il faudrait que ca commence par Destructo, ou un truc du genre, mais Destructo Inferi ne doit pas vraiment marcher... Essayons plutot autre chose...*

- Destructo Toutim !

C'est pour le coup que le sortilege eut un effet devastateur... sauf que c'etait les murs de la bibliotheques qui explosaient. Owen remarqua dans le nuages de poussieres laissant place au couloir, que certains pans de murs tomberent sur deux inferi qui deaient certainement etre broyés.

*Yes ! Je suis trop fort !*

- Owen NAAAAAAAAAAAN !

*Ben quoi, j'en ai eut deux ?...*

Owen remarqua qu'emergeant du nuage de débris de perres, que les Inferis se presserent plus facilement dans la salle aux livres. Voyant le danger immédiat, Owen recula tout en renoncant à répéter sa formule. Au lieu de cela, il préféra ranger sa baguette pour lancer à main nue tous les livres qu'il avait sous la main, fraichement empilé par le fantome bibliothéquaire. D'ailleurs le fantome fut encore plus pâle que pâle en voyant que ses livres qu'il venait de metre à l'abris servait soudain de munition au Pousouffle. Le fantome en resta béa.

- Tiens attrapes ça boufeur de moisie ! Ah ha ! Et toi prends toi ... tiens c'est quoi comme livre ? Ca à l'air sympa ! "Les Bavesboules de par les âges", je devrai peut-être le garder...

Owen ne fit pas attention à la menace, et se fit sauver de justesse par un sortilège d'un de ses alliés. Owen décida d'aller ranger soigneusement le livre dans un coin de la bibliotheque, pour venir le recuperer plustard. Voyant le fantome, Owen passa au travers, ce qui fut desagréable, et lui adressa rapidement la parole.

- Bon surtout tu y fait TRES attention OK ?!

Laissant le livre sous la protection spectrale de Stéphen, Owen s'en alla baguette à la main pour relancer une salve de reducto. Les inferis gagnerent du terrain, mais Owen pû voir les renforts arriver,... par la fenetre ?! Owen vitNoémie aller à leur rencontre pour faire un bref rapport et pour sauver le directeur. Owen laissa Julius les deendre pour aller voir ses nouveaux alliés.

- Bah qu'est-ce que vous faits professeur ? Pourquoi vous passer par la fenetre alors que je vous ai crée une grande porte (ou trou) dans la bibliotheque ?

- Priorité à la protection des élèves, en particulier des plus jeunes ! Il faut faire en sorte de rassembler tous les Inferi ! Allez allez allez !

- Oui d'accord !

Owen courut à la suite de Noémie qui rassemblait les combattants gryffondor qui etaient deja au combat dans le couloir. Julius, lui fut escorté par l'homme au calepin jusqu'à son dortoir pour trouver les eleves. C'etait une veritable armée de rouge et bleu qui se batterent avec les adultes. Owen avait compris qu'il fallait rasembler tout le monde, c'est pour cela qu'il partit droit vers son dortoir, oubliant que celui-ci se trouvait derriere les ransg des Inferi. Owen lança un sort qui lui permit de se frayer un passage parmi l'armée grondante des baveux à furoncles. Owen perdit pied et ne û qu'entendre derriere lui quelq'un hurlant :

- MacKenziiie ! Revenez !

par **Stéphane Fovrai** Sam 6 Mar - 13:39

Le chaos regnait danstoute l'école qui commencait à tomber en ruine de toutes part. Après l'infirmerie dévasté, la bibliotheque explosé, les couloirs défoncés en encombrés de cadavres diverses et la salle commune des Gryffondors incendiés, c'etait le tour des égouts et sous-sol d'exploser sous la marée putride des Inferi qui pressés de trouver de la chair fraiche, tenterent de remonter les égouts en detruisant tuyaux et pans de murs, pour ressortir dans le lac noir dans le parc, qui pourrait leur donner accés à l'exterieur, et surtout le village de Pré-au-Lard à l'odeu de fumet humain. Les bases de l'ecole vaccillerent sous la destruction de tous ces murs porteurs. La Grande salle s'est divisé en deux, par un cratere qui donnait juste au dessus de la salle de potion, encore infesté d'Inferius.

Le chateau tremblait avec une telle force, et les hurlements discontiu d'affamés inferi ou de lutteur à baguette magique mirent fin aux doux sommeils des derniers élèves et membres de personnels. Le personnel de l'ecole, ayant des chambres dispercées dans toute l'école, tomberent quasiment tous face à face avec des inferis qui en profiterent pour leur arracher quelques morceaux de cerveaux remplis de matiere grise. Seuls les professeurs de botanique et de soins aux créatures magiques (dont Maclov Eisley remplacait ou Delpierre partie rejoindre sa cousine éloignée avec qui elle etait reniée), reussirent à predre la fuite et alerter le village sorcier pour trouver des secours. Ceux-ci arriverent à temps et dure livrer bataille dés le portail franchit, faisant face à la marée des inferi qi sorairent du lac noir, pour se ruer vers eux.

Bastian Napudge (professeur de potion) fut tiré par le sommeil par les morts-vivants, et se vit se faire écarteler, pour finir dans un craquement sourd d'os broyés, en plusieurs morceaux, tout de suite emparré par les affamés.
Abaigh Lopall (professeur de DCFM) lutta courageusement, mais du se résigner à une mort lente, désarmé et entourré d'inferi. Son sort fut lent, puisque les créatures avaient un certains gout, pour la viande humaine encore remuante, au doux son des hurlements du professeur.
Riwas Berywhite (professeur d'histoire de la magie, remplacant du professeur Fovrai) était avec un élève en retenue qu'il devait surveiller, depuis le facheu accident d'encrier volant sur une carte de révolution des Trolls. Les deux personnes, attirés par les explosions et les cris, furent attirer dans les couloirs et embarqués par les noires créatures. On ne revit jamais l'élève (certainement dans un estomac de plusieurs inferi), et le corps du professeur fut retrouvé bien plustard sous un pan de mur.
Minerva McGonagall et Fragana Pernack (professeurs de métamorphose) tenterent de s'échapper par une fenetre en métamorphosant un tableau en tapis volant pour Fragana et un porte-manteau en balai pour Minerva. Miverva alla rejoindre les sauveteurs dans le parc, alors que l'autre professeur préféra s'enfuir, et ne jamais reveir dans cette école de cauchemar.
Amanda Troskin (professeur d'enchantement) péri dans son sommeil, écrasé par le plafond qui avait explosé.
Fedelm Paverney, Kenny Mesdart, Aurora Kattow et Peddyr Wolfe (profeseurs du dernier étage) parvinrent à rejoindre les un gryffondor qui venait de perdre un bras dans la bataille. Le groupe lutta pour se frayer un chemin dans le bureau du directeur, pour envoyer un appel de détresse par hiboux. Le groupe parvint à se barricader et attendre les secours.

Pendant ce temps, un autre combat etait mené dans la salle au savoir. Le directeur faisait les cent-pas tout en lancant des sortileges pour repousser les assiegeants. Julius et Noémie defendrent Telford, recroquevillé dans un coin, et les trois ex-serpys lancerent sort sur sort, ayant des effets, plus ou moins efficace alors que Mana faisait un massacre. Le directeur etait encore choqué de la fuite du Pousouffle. C'est donc sur un coup de tête qu'il se lanca dans les rangs ennemis en disant aux derniers combattants de tenir encore quelques... heures. Le directeu disapru, baloté par les monstres qui en cherchant à s'emparer de lui, le transporterent dans un coin calme, propre à la degustation.

Le groupe de survivants furent pris de panique, mais avec le soutien des élèves de gryffondor, menés par Noémie, et les serdaigles par Julius, ils reussirent à bloquer l'avancée des cadavres ambulants grâce à un sort combiné d'impervius. Une fois les rangs d'inferi stopés, les survivants discuterent d'un moyen pour sortir de là, en sachant qu la fenetre ne permettait que de tomber dans le vide, juste à côté du lac, ou déjà d'autres créatures se presserent.

Quant au directeur, c'est une fois transporté aux escaliers, qu'il se défi de son moyen de locomotion par quelques coups de baguettes. Il arriva à l'étage des Poufsouffle, et arriva à leurs dortoirs, bien qu'obstrué par une marée d'inferius. Owen etait dans ce groupe en train de lutter pour repousser les assayant. Le directeur alla envoyer valdinguer certains inferi, mais cette aide, ne lui permit pas d'arriver à temps au pousouffle, qui finit par être mordu au coup. Quand l'inferius lacha prise, le directeur vit qu'un bout de chair de grande taille manquait au cou d'Owen, qui s'écroula dans d'atroces convulsions.

Le directeur fut pris de desespoir, et ne reprit ses esprits, quand il vit les congénéres putrides de l'assassin se diviser en deux groupes, un pour finir leur repas avec Owen, l'autre pour aller inviter à manger le directeur. Evans parvint, dans une grande explosion à propulser ses adversaires (et le coprs d'Owen) au loin, dans la salle aux trophées, dont les vitrines exploserent sous l'amoncellement de cadavres (vivant) et de cadavre (Owen).
La sortie enfin libre, tous les eleves en pyjamas jaune canaris, sortir et suivirent le directeur qui reprit la direction de l'escalier, dans lequel il croisa le groupe de survivants de la bibliotheque qui avat réussit à s'arreter sur une idée d'evasion. C'est ainsi que les 4 derniers gryffondors (en plus de Noémie), les 9 serdaigles (en plus de Julius), les 12 Poufsouffle (en moins d'Owen) et les trois Serpys en plus de Telford et de Mana qui trainait le pas pour continuer à tuer en quantité (mais tuer des morts, c'est pas facil...), que le directeur prit la fuite, dans une caquinfonie de sort lancé droit devant eux, creusant un passage dans la chair putréfié des Inferi. Ils finirent par arriver dans le hall, quand une autre explosion, dans la tour la plus haute de l'école, les firent stopés.

Déjà un autre grondement, et plusieurs craquement se firent entendre.

par Julius Horg Dim 7 Mar - 16:12

Julius qui paniquait encore quelques temps auparavant paraissait désormais métamorphosé. Placé devant tedford qui tremblait comme une feuille il lançait sûr de lui sortilège après sortilège, guidait le groupe de serdaigle du mieux qu'il le pouvait. On aurait eu du mal à reconnaître le jeune garçon timide et peu sûr de lui rentré à l'école près de deux ans plus tôt. Le temps avait coulé depuis.

Pourtant autours d'eux tout prêtait à la panique. Les murs s'écroulaient les uns après les autres, des cris se faisaient entendre, le chateau trembalit comme s'il allait s'effondrer d'un moment à l'autre engloutissant inferis, élèves et tout le personnel du chateau. D'ailleurs si Juju paraissait sûr de ce qu'il faisait il était intérieurement totalement terrifié.

D'ailleurs sa panique ne tarda pas à réapparaître quand il vit le directeur disparaître dans la cohue des inferi.

- QUOI? MONSIEUR, NOUS LAISSEZ PAAAAAAS!!!

Trop tard le professeur était déjà loin et la panique gagnait les rangs des élèves laissés en plan sans le moindre adulte pour leur venir en aide. Un brouhaha incommensurable gagnait les rangs.

Heureusement parmis eux la courageuse gryffondor de Noémie ne se laissait pas abattre, elle lança à Julius d'un air sûre d'elle: "sortilège d'Imperius". Il était évident qu'elle avait raison. d'ailleurs si on avait posé la question à Juju d'un point de vue totalement théorique il aurait su qu'il fallait recourir à cette technique. Le problème était qu'en pratique il se laissait bien facilement déborder.

Ragaillardi par le courage de Noémie il se tourna vers ses serdaigles et relaya l'information:

- Alles on se sert du sortilège d'Imperius;

Son ton sans appel convainquit très rapidement ses troupes et les élèves ne mirent que quelques minutes à parvenir à maintenir leurs ennemis à bonne distance.

Un soupir de soulagement fut unanimement poussé par les jeunes combattants bien que la partie ne fut pas encore gagnée. Restait un souci et de taille que Juju ne tarda pas à formuler:

- on s'enfuit comment?

Tout le monde avait son avis sur la question, des hypothèses plausibles aux propositions les plus farfelues:

- La fenêtre?
- Tu veux qu'on se jette dans le vide idiot?
- Hmmmm on envoit quelqu'un détourner leur attention?

Alors que le brouhaha gagnait les ranges des élèves Julius réfléchissait à toute allure. Il y avait bien un petit couloir entre les inferi, ce qu'il fallait c'était passer très vite et trouver un moyen de se protéger d'eux. Oui mais commen? Lui revint en mémoire l'épisode de sainte-Mangouste et la traversée du couloir. Il n'était plus beaucoup... on pourrait refaire ça. c'était dangereux bien sûr mais ce n'était pas comme s'ils avaient de meilleure autre solution.

D'un ton sans appel le jeune garçon fit taire ses camarades:

- Fermez là un peu! J'ai une idée. On va faire comme à Sainte Mangouste: On fait léviter des pans de mur ou des bibliothèques pour se protéger et on se dépêche de passer dans ce petit couloir au mileir d'eux. Il faudra faire très vite. C'est bon pour vous?

Après quelques discussions, ils convainrent qu'il n'avait pas beaucoup d'autres choix.

- Bon à trois: un deux trois!

Les élèves d'un geste firent léviter les pans de mur nécessaires à leur protection et traversèrent au trot la masse des inferi regagnant ainsi les escaliers.

- Bon ... on court!

C'est au pas de course, en sautant les marches trois par trois que les élèves dévalèrent les escaliers jusqu'à retrouver le petit groupe du directeur et des poufsouffles.

Tout ce petit monde regagna bien vite le hall de l'école quand une explosion retentit, visiblement en provenance de la haute tour du chateau.

- Oh... mamaaaaan...

Lacha Julius entre ses dents alors que de nouveau grondements se faisaient entendre.

par **azuki slytherin** Dim 7 Mar - 23:58

Le nuage de poussière s'était disspié pour laisser le passage à la horde d'Inferi. Les pantins décharnés se faisaient de plus en plus nombreux et tous les sorts qui fusaient sur eux ne semblaient pas les gêner le moins du monde. Le petit groupe qu'ils étaient pouvait les ralentir mais certainement pas les arrêter. Azuki ne savait pas qui avait envoyé ces... trucs à Veranda, même si elle en avait une petite idée quand même, mais il avait abusé sur la quantité là ! Elle manquait d'action en ce moment mais trop d'action, tue l'action.

Leurs défenses s'éffritaient de plus en plus mais elle se battait toujours. D'ailleurs, la jeune femme n'avait aucune idée de ce qui la faisait rester. Elle aurait très bien pû se tirer il y a perpette les alouettes. C'aurait été plus Serpentard, plus ele. Mais quelque chose lui disait qu'elle devait être là en ce moment. Y a des jours, elle se posait des questions sur sa santé mentale.

Le Directeur ordonna le repli et pour une fois, la verte et argent fut tout à fait d'accord avec lui. Obéissant sans dire un mot, une fois n'est pas coutume, Azuki se déploya avec ses deux amies pour permettre à Evans de faire sortir les pensionnaires de l'infirmerie par la fenêtre de celle-ci. Puis ce fut leur tour, le Directeur lui fit signe de s'pprocher prêt à la faire léviter.

- Vous ratez pas surtout !

Quelques secondes plus tard, elle aterrit sur le plancher des vaches. Le château semblait à l'agonie. Tout tremblait. Même du pac on pouvait entendre les bruits de chute de pierre, signe de la destruction de ce qui fut son école. Evans allait les rejoindre quand au lieu de descendre il se retrouva à l'étage d'au-dessus.

- Et merdum, pouvait pas faire comme tout le monde et se tirer à l'anglaise ! Nan, jouons les héros pour bien faire chier son monde.

Elle soupira et se passa une main lasse dans les cheveux. Ca ne la drangeait pas de regarder le château tomber en ruines, au contraire c'était assez drôle comme spectacle. L'indestructible école se transformant en tas de poussière. Le seul inconvénient, c'était les responsables de cette mise en pièce en règle. Si les Inféri détruisaient Veranda, ils ne s'arrêteraient pas en si bon chemin et c'est qu'elle avait une boutique elle ! Hors de question que ces marionnettes du diable mettent la pagaille chez elle. Elle regarda ses amies et eut leurs assentiments . D'un mouvement de baguete, elles se retrouvèrent dans la bibliothèque et repartirent à l'assaut. Azuki balança sort sur sort tous plus vicieux les uns que les autres. S'ils n'étaient pas déjà morts, il y aurait eu une écatombe dans la bibliothèque.

Un groupe de gryffondor les rejoignirent mais elle n'y prêta guère attention. Elle était focalisée sur ses adversaires. Elle devait les repousser. Dans la fureur du combat, elle se tenait droite, deux rubis froids scintillant à la place de ses yeux habituellement dans le vague. Il ne fallait pas pousser mémé dans les bégonia non plus. Le Directeur partit, elle ne savait où donnant ses derniers ordres au passage. Barricader. Non on va laisser les portes grandes ouvertes histoire d'avoir de la compagnie. Elle grogna. Les Inferi reculaient mais la partie n'était pas encore gagnée. Loin de là.

par **Evans Dablord** Dim 11 Avr - 1:16

La situation était désespérée. Le Directeur, pourtant considéré par beaucoup comme un expert en la matière, était dépassé. Ses célèbres compétences n’étaient donc finalement qu’une façade bien pensée, sinon il aurait trouvé une solution. Néanmoins, à présent, voyant toute son école s’effondrer peu à peu, il savait qu’il n’avait jamais mérité son poste. Oliver Telford avait raison : beaucoup trop d’incidents avaient eu lieu en sept ans, et le professeur Dablord était incompétent. Celui-ci ne voyait maintenant plus aucun espoir pour ce château. Ses yeux ralentissaient le temps. Le massacre était lent. Quasiment trop lent… Chacun bougeait au ralenti ; chacun décomposait chaque syllabe – que dis-je ? chaque son. Les Inferi semblaient presque peu pressés de violemment frapper une nouvelle cible. Les murs vacillaient, alors que le sorcier se battait lui aussi férocement. Il tournait la tête à gauche, à droite, faisait un demi-tour complet… L’école n’existait déjà plus. Il n’y avait plus qu’une seule chose à faire, si tant était qu’il y en avait encore une : sauver les derniers isolés, les faire fuir, et détruire le château pour emporter avec lui tous les Inferi. Aucun ne devait en sortir vivant, pour le bien du Monde Magique. Pour le bien du Monde Moldu.

Evans se précipita à travers les lignes ennemies, lancé dans une vaine tentative d’être aussi chanceux qu’Owen et de passer à travers ces immondes cadavres. Sortilège de désarment, sortilège de pétrification, sortilèges de stupéfaction et de bouclier… Ils ne suffirent pourtant pas. Le Directeur fut arraché du sol par des bras en état de décomposition, le griffant et lui arrachant parfois ses vêtements par la même occasion.

- Wwwooooh ! Enlevez vos sales pattes de là ! Vous avez entendu ?! Oh ! Je suis le professeur Dablord ! Reposez-moi maintenant ! C’est un ordre ! Vous comprenez ce que je dis au moins ?! La prochaine fois, achetez-vous un dictionnaire ou un décodeur, ça évitera de nous faire perdre du temps ! Bande de moules ! Pas fraîches en plus de ça ! Vous apprendrez qu’il existe une superbe invention Moldue qui s’appelle la « douche »… Dégueulasses ! J’vous préviens : si je pue à cause de vous, ça va mal se mettre ! Attention !

Evans n’avait jamais pris le bateau. Après cette mésaventure, il ne se risquerait jamais à le prendre… La mer et la houle, bouh… Très peu pour lui ! Rien de tel pour vous rendre malade…

- Tant que j’y suis, si vous sentez quelque chose de visqueux tomber sur vous, ne vous inquiétez pas, c’est juste du vomi. De toute façon vous l’aurez bien mérité, et ça ne changera rien pour vous vu que vous sentez encore plus mauvais que les chaussons de Stéphane ! Oui, parfaitement ! Bande de dégueulasses !

Le professeur fut bientôt la tête en bas, le temps que les Inferi montent les escaliers et que ses transporteurs soient à nouveau au même niveau. Finalement rendu dans les dortoirs des Poufsouffle – qu’il croyait jusqu’à ce moment protégés par un mot de passe –, à l’étage inférieur, Evans décida que c’en était assez. A présent qu’il avait Owen en vue, à 12h à l’envers, il était temps de se débarrasser des immondices et de protéger ce qui en valait encore la peine : sa fierté.

- EXPULSO !

Sous l’effet du sort, tous les Inferi en face de la baguette du sorcier furent expulsés loin de ce dernier. N’ayant plus aucun pilier pour le retenir, le professeur tomba lourdement sur le sol. Il se releva précipitamment, dut frapper de son poing l’Inferus qui s’approchait de lui et courut vers Owen. Mais il était trop tard. Le Poufsouffle fut tué sous les yeux de l’auror, qui n’avait absolument rien pu faire. Evans se débarrassa des assaillants de l’élève mécaniquement, encore plongé dans l’assassinat qu’il aurait dû pouvoir éviter… Quand le Directeur prit conscience qu’Owen n’était plus une priorité, il s’aperçut – et il était temps – que les envahisseurs s’intéressaient de plus en plus… Avait-il mis un parfum attirant ? Non, il n’en avait aucun souvenir… Hésitant à lever un bras pour regarder si l’odeur de sa transpiration était réellement envoûtante, le professeur se débarrassa provisoirement des créatures comme il le put.

- CONFRINGO !

L’explosion expulsa tout corps – organique ou non – vers la salle des trophées. La violence du choc fut telle que les vitrines éclatèrent elles-aussi alors que les murs tremblaient… En déduisant que la sortie était temporairement libre, le sorcier fit signe à tous les élèves encore dans le coin de fuir en courant.

*Bon, on remonte.*

Evans enchaînait quatre à quatre les escaliers menant au second étage quand il croisa les rescapés dits « érudits » (puisque se trouvant dans la bibliothèque). Réfléchissant une seconde, l’homme se dit qu’ils avaient raison et enchaîna alors les escaliers quatre à quatre dans l’autre sens. Baguette droit devant, sortilèges prenant la piste d’envol sans autorisation de la tour de contrôle, le professeur arriva finalement dans le grand hall, quand une énorme explosion retentit. Evans s’arrêta et regarda le plafond. Les muscles encore tendus, les oreilles à l’écoute, des craquements se firent entendre. Le regard du Directeur se posa alors sur une fissure qui s’agrandissait rapidement… Trop rapidement.

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